Une foule émue a assisté samedi matin au départ du cortège funèbre du député assassiné Mohamed Brahmi qui a quitté son domicile à l'Ariane (10 km au nord de Tunis) sous escorte militaire pour le cimetière d'El Jellaz à Tunis.
Enveloppé du drapeau national, rouge et blanc, et escorté par des voitures militaires, le cercueil a quitté le domicile du défunt un peu avant 10H00 locales (09H00 GMT) et devait emprunter un parcours longeant l'Avenue centrale Habib Bourguiba de Tunis sur le chemin du cimetière dans le sud de la capitale, selon un journaliste de l'AFP.
La foule comptait notamment des proches et camarades du défunt en l'absence de responsables du gouvernement dirigé par les islamistes d'Ennahda, dont la présence n'était pas souhaitée par la famille.
La mise en terre devrait avoir lieu à la mi-journée dans le "caré des martyrs" où repose déjà l'autre opposant de gauche Chokri Belaïd, assassiné lui aussi par balles devant son domicile en février dernier.
Opposant nationaliste de gauche, Mohamed Brahmi a été tué jeudi de 14 balles tirées à bout portant devant son domicile, sa famille accusant Ennahda et les autorités imputant le meurtre à un islamiste salafiste proche d'Ansar Ashariaa, une organisation jihadiste liée à Al-Qaïda.
Ces funérailles ont lieu au lendemain de manifestations anti-gouvenementales parfois violentes à travers le pays.
Enveloppé du drapeau national, rouge et blanc, et escorté par des voitures militaires, le cercueil a quitté le domicile du défunt un peu avant 10H00 locales (09H00 GMT) et devait emprunter un parcours longeant l'Avenue centrale Habib Bourguiba de Tunis sur le chemin du cimetière dans le sud de la capitale, selon un journaliste de l'AFP.
La foule comptait notamment des proches et camarades du défunt en l'absence de responsables du gouvernement dirigé par les islamistes d'Ennahda, dont la présence n'était pas souhaitée par la famille.
La mise en terre devrait avoir lieu à la mi-journée dans le "caré des martyrs" où repose déjà l'autre opposant de gauche Chokri Belaïd, assassiné lui aussi par balles devant son domicile en février dernier.
Opposant nationaliste de gauche, Mohamed Brahmi a été tué jeudi de 14 balles tirées à bout portant devant son domicile, sa famille accusant Ennahda et les autorités imputant le meurtre à un islamiste salafiste proche d'Ansar Ashariaa, une organisation jihadiste liée à Al-Qaïda.
Ces funérailles ont lieu au lendemain de manifestations anti-gouvenementales parfois violentes à travers le pays.