Fehmi El Aouini, décédé mardi soir, est le premier mort recensé de la vague de violences qui a secoué la Tunisie lundi et mardi. L'hô pital n'était pas en mesure de préciser s'il faisait partie des émeutiers.
Par ailleurs, 10 blessés dont quatre agents des forces de sécurité ont reçu mardi des soins à l'hô pital Fahrat Hached de Sousse, a précisé à l'AFP le directeur de l'établissement Fawzi Krayem.
Sousse, qui fait partie des gouvernorats sous couvre feu depuis mardi soir, a été le théâtre de violences provoquées par des groupes de salafistes et de casseurs qui protestaient contre une exposition d'art jugée offensante pour l'islam.
Mardi à l'aube, des inconnus avaient lancé des coktail molotov contre le siège de l'Institut des Beaux Arts, selon l'agence TAP.
Plus tard dans l'après-midi, des membres du courant salafiste s'étaient regroupés dans le centre ville pour protester contre "une atteinte aux valeurs du sacré" contenue selon eux dans l'exposition et des affrontements avaient éclaté avec la police.
Par ailleurs, 10 blessés dont quatre agents des forces de sécurité ont reçu mardi des soins à l'hô pital Fahrat Hached de Sousse, a précisé à l'AFP le directeur de l'établissement Fawzi Krayem.
Sousse, qui fait partie des gouvernorats sous couvre feu depuis mardi soir, a été le théâtre de violences provoquées par des groupes de salafistes et de casseurs qui protestaient contre une exposition d'art jugée offensante pour l'islam.
Mardi à l'aube, des inconnus avaient lancé des coktail molotov contre le siège de l'Institut des Beaux Arts, selon l'agence TAP.
Plus tard dans l'après-midi, des membres du courant salafiste s'étaient regroupés dans le centre ville pour protester contre "une atteinte aux valeurs du sacré" contenue selon eux dans l'exposition et des affrontements avaient éclaté avec la police.