Cet appel a été lancé par l'Union démocratique unioniste (UDU) à l'occasion du 25e anniversaire du bombardement par l'aviation israélienne de la localité de Hammam-Chott, située à une trentaine de kilomètres de Tunis.
Le raid visait les dirigeants de l'Organisation de libération de a Palestine (OLP) qui y avait établi son quartier général après avoir fui le siège de Beyrouth par l'armée israélienne en 1982.
L'opération menée le 1er octobre 1985 avait coûté la vie à 50 Palestiniens et 18 Tunisiens, et provoqué des dégâts matériels évalués à 8,5 millions de dollars.
Dans un communiqué transmis à l'Associated Press, l'Union démocratique unioniste (UDU) appelle à proclamer le 1er octobre "journée nationale de lutte contre la normalisation sous toutes ses formes avec l'entité sioniste".
Cette formation d'obédience nationaliste arabe dirigée par Ahmed Inoubli, candidat malheureux à la présidentielle d'octobre 2009, exhorte les gouvernements arabes qui entretiennent des relations officielles, commerciales et culturelles avec Israël à rompre ces liens.
Après avoir échangé en 1996 des bureaux d'intérêts avec Israël, la Tunisie a décidé la fermeture de ces représentations à la suite de la deuxième Intifada en 2000. Elle continue néanmoins de recevoir des délégations israéliennes à l'occasion de conférences internationales organisées à Tunis et accueille par ailleurs des milliers de Juifs pour le pèlerinage annuel de la Ghriba, à Djerba.
Le raid visait les dirigeants de l'Organisation de libération de a Palestine (OLP) qui y avait établi son quartier général après avoir fui le siège de Beyrouth par l'armée israélienne en 1982.
L'opération menée le 1er octobre 1985 avait coûté la vie à 50 Palestiniens et 18 Tunisiens, et provoqué des dégâts matériels évalués à 8,5 millions de dollars.
Dans un communiqué transmis à l'Associated Press, l'Union démocratique unioniste (UDU) appelle à proclamer le 1er octobre "journée nationale de lutte contre la normalisation sous toutes ses formes avec l'entité sioniste".
Cette formation d'obédience nationaliste arabe dirigée par Ahmed Inoubli, candidat malheureux à la présidentielle d'octobre 2009, exhorte les gouvernements arabes qui entretiennent des relations officielles, commerciales et culturelles avec Israël à rompre ces liens.
Après avoir échangé en 1996 des bureaux d'intérêts avec Israël, la Tunisie a décidé la fermeture de ces représentations à la suite de la deuxième Intifada en 2000. Elle continue néanmoins de recevoir des délégations israéliennes à l'occasion de conférences internationales organisées à Tunis et accueille par ailleurs des milliers de Juifs pour le pèlerinage annuel de la Ghriba, à Djerba.