Accueil
Actus
Dans un communiqué qu'il a diffusé mardi, Kumbaroglu a estimé que l'accord conclu avec la société Allseas pour la construction d'une deuxième ligne, fait progresser le partenariat stratégique entre la Turquie et la Russie.
«La deuxième ligne sera profitable à la Turquie dans le domaine énergétique, car la première ligne était destinée uniquement au marché interne», a-t-il noté.
La deuxième ligne fournira du gaz aux pays de l'Union européenne (UE), et les discussions diplomatiques détermineront le prolongement de la ligne dans les Balkans, a fait savoir le président de l'IAEE.
«Dans le cadre du règlement énergétique de l'UE, la partie russe ne peut pas être un investisseur ou un exploitant en Europe, de ce fait, nous attendons à ce que la Turquie assume un rôle proactif dans la diplomatie énergétique», a-t-il déclaré.
Pour Kumbaroglu, «la signature d'un accord pour la deuxième ligne est profitable non seulement pour la Russie et la Turquie, mais aussi pour la Grèce et les Balkans, car elle apportera de la sécurité énergétique, de la paix et de la prospérité à l'Europe du Sud-est».
Un premier accord avait été signé entre la société russe Gazprom et la suisse Allseas, pour la construction d'une première ligne du projet Turkish Stream, au mois de décembre 2016. Les deux sociétés ont signé un deuxième accord pour une deuxième ligne, lundi.
«La deuxième ligne sera profitable à la Turquie dans le domaine énergétique, car la première ligne était destinée uniquement au marché interne», a-t-il noté.
La deuxième ligne fournira du gaz aux pays de l'Union européenne (UE), et les discussions diplomatiques détermineront le prolongement de la ligne dans les Balkans, a fait savoir le président de l'IAEE.
«Dans le cadre du règlement énergétique de l'UE, la partie russe ne peut pas être un investisseur ou un exploitant en Europe, de ce fait, nous attendons à ce que la Turquie assume un rôle proactif dans la diplomatie énergétique», a-t-il déclaré.
Pour Kumbaroglu, «la signature d'un accord pour la deuxième ligne est profitable non seulement pour la Russie et la Turquie, mais aussi pour la Grèce et les Balkans, car elle apportera de la sécurité énergétique, de la paix et de la prospérité à l'Europe du Sud-est».
Un premier accord avait été signé entre la société russe Gazprom et la suisse Allseas, pour la construction d'une première ligne du projet Turkish Stream, au mois de décembre 2016. Les deux sociétés ont signé un deuxième accord pour une deuxième ligne, lundi.
