Ilker Basbug
"Le 26ème chef d'état-major de la République turque a malheureusement été placé en détention préventive pour avoir appartenu et dirigé une organisation terroriste et avoir tenté de renverser le gouvernement", a déclaré Me Ilkay Sezer, l'avocat du militaire, cité par Anatolie.
Plusieurs dizaines d'officiers --en activité ou à la retraite-- ont été emprisonnés au cours des dernières années dans le cadre de plusieurs enquêtes sur des complots supposés visant le gouvernement, mais il s'agit de la première arrestation d'un ancien numéro un de l'armée.
Le général Ilker Basbug, qui a quitté l'état-major et a pris sa retraite en 2010, a été convoqué jeudi par le ministère public à Istanbul en qualité de suspect dans une enquête sur une campagne visant à discréditer le Parti gouvernemental de la Justice et du développement (AKP).
Au terme de sept heures d'interrogatoires, Ilker Basbug a été déféré devant un tribunal avec une demande de placement en détention. Il a ensuite été transféré à la prison de Silivri, où sont emprisonnés de nombreux prévenus accusés de complot, a indiqué l'agence Anatolie.
L'enquête suit plusieurs ramifications, notamment des accusations selon lesquelles des officiers auraient créé des sites internet pour diffuser une propagande antigouvernementale et déstabiliser la Turquie.
Plusieurs dizaines d'officiers --en activité ou à la retraite-- ont été emprisonnés au cours des dernières années dans le cadre de plusieurs enquêtes sur des complots supposés visant le gouvernement, mais il s'agit de la première arrestation d'un ancien numéro un de l'armée.
Le général Ilker Basbug, qui a quitté l'état-major et a pris sa retraite en 2010, a été convoqué jeudi par le ministère public à Istanbul en qualité de suspect dans une enquête sur une campagne visant à discréditer le Parti gouvernemental de la Justice et du développement (AKP).
Au terme de sept heures d'interrogatoires, Ilker Basbug a été déféré devant un tribunal avec une demande de placement en détention. Il a ensuite été transféré à la prison de Silivri, où sont emprisonnés de nombreux prévenus accusés de complot, a indiqué l'agence Anatolie.
L'enquête suit plusieurs ramifications, notamment des accusations selon lesquelles des officiers auraient créé des sites internet pour diffuser une propagande antigouvernementale et déstabiliser la Turquie.