Edouard Nalbandian (2eG) et turque Ahmet Davutoglu
Le vote des députés sur ces deux textes ne devrait cependant pas intervenir dans un bref délai, l'opposition parlementaire étant très hostile au processus de normalisation avec Erevan.
Une commission doit d'abord étudier le texte qui sera débattu ultérieurement en séance plénière, à une date encore inconnue.
Pour entrer en vigueur, les accords doivent obtenir le feu vert des parlements des deux pays. L'Arménie n'a pas encore commencé ce processus.
Le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu doit présenter mercredi après-midi aux députés du haut de la tribune de l'Assemblée la position de son gouvernement concernant ces deux textes, signés par la Turquie et l'Arménie le 10 octobre dernier à Zürich (Suisse).
Les relations entre Turcs et Arméniens sont hantées depuis près d'un siècle par le souvenir des massacres et déportations d'Arméniens en 1915-1917 (plus d'un million et demi de morts, selon l'Arménie, 300.000 à 500.000 selon la Turquie, qui récuse le terme de génocide).
Une commission doit d'abord étudier le texte qui sera débattu ultérieurement en séance plénière, à une date encore inconnue.
Pour entrer en vigueur, les accords doivent obtenir le feu vert des parlements des deux pays. L'Arménie n'a pas encore commencé ce processus.
Le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu doit présenter mercredi après-midi aux députés du haut de la tribune de l'Assemblée la position de son gouvernement concernant ces deux textes, signés par la Turquie et l'Arménie le 10 octobre dernier à Zürich (Suisse).
Les relations entre Turcs et Arméniens sont hantées depuis près d'un siècle par le souvenir des massacres et déportations d'Arméniens en 1915-1917 (plus d'un million et demi de morts, selon l'Arménie, 300.000 à 500.000 selon la Turquie, qui récuse le terme de génocide).