Le réseau social a annoncé ces changements sur un blog, une réponse indirecte aux critiques sur sa passivité supposée face, notamment, à l'utilisation de ses services par le groupe djihadiste Etat islamique (EI) à des fins de propagande ou d'enrôlement de nouveaux membres.
"Comme toujours, nous apprécions et nous encourageons la diversité des opinions et des croyances mais nous continuerons à prendre des mesures concernant les comptes qui franchissent la limite de l'abus", a déclaré Megan Cristina, directrice de la Fiabilité et de la sécurité de l'entreprise.
Les nouvelles règles ne mentionnent le nom d'aucune organisation.
"Vous ne devez pas directement attaquer ni menacer d'autres personnes, ni inciter à la violence envers elles sur la base des critères suivants : race, origine ethnique, nationalité, orientation sexuelle, sexe, identité sexuelle, appartenance religieuse, âge, handicap ou maladie", précise les nouvelles "règles" de Twitter.
"Par ailleurs, nous n'autorisons pas les comptes dont le but principal est d'inciter à faire du mal aux autres sur la base de ces catégories."
L'entreprise n'a pas précisé mardi si ces nouvelles règles s'accompagnaient d'une modification de la stratégie mise en oeuvre pour les faire appliquer. Un porte-parole de Twitter s'est refusé à dire si une telle modification était prévue.
Une étude du Brookings Institute américain sur l'utilisation de Twitter par l'EI avait conclu en mars dernier que l'organisation avait utilisé au moins 46.000 comptes entre septembre et décembre 2014.
L'un des auteurs de cette étude, J.M. Berger, a estimé mardi que les nouvelles règles devraient au moins favoriser le signalement des abus par d'autres utilisateurs.
"La nouvelle définition est bien plus claire et répond à un certain nombre de questions pour déterminer si un tweet viole les règles", a-t-il dit
"Comme toujours, nous apprécions et nous encourageons la diversité des opinions et des croyances mais nous continuerons à prendre des mesures concernant les comptes qui franchissent la limite de l'abus", a déclaré Megan Cristina, directrice de la Fiabilité et de la sécurité de l'entreprise.
Les nouvelles règles ne mentionnent le nom d'aucune organisation.
"Vous ne devez pas directement attaquer ni menacer d'autres personnes, ni inciter à la violence envers elles sur la base des critères suivants : race, origine ethnique, nationalité, orientation sexuelle, sexe, identité sexuelle, appartenance religieuse, âge, handicap ou maladie", précise les nouvelles "règles" de Twitter.
"Par ailleurs, nous n'autorisons pas les comptes dont le but principal est d'inciter à faire du mal aux autres sur la base de ces catégories."
L'entreprise n'a pas précisé mardi si ces nouvelles règles s'accompagnaient d'une modification de la stratégie mise en oeuvre pour les faire appliquer. Un porte-parole de Twitter s'est refusé à dire si une telle modification était prévue.
Une étude du Brookings Institute américain sur l'utilisation de Twitter par l'EI avait conclu en mars dernier que l'organisation avait utilisé au moins 46.000 comptes entre septembre et décembre 2014.
L'un des auteurs de cette étude, J.M. Berger, a estimé mardi que les nouvelles règles devraient au moins favoriser le signalement des abus par d'autres utilisateurs.
"La nouvelle définition est bien plus claire et répond à un certain nombre de questions pour déterminer si un tweet viole les règles", a-t-il dit