D’après le journal, citant deux sources proches du dossier, un grand jury fédéral de New York a assigné à comparaître au moins deux fabricants de smartphones - dont les noms ne sont pas dévoilés - faisant partie des 150 entreprises avec lesquelles Facebook a conclu des accords de partage de données personnelles de centaines de millions de ses utilisateurs.
Un précédent article du New York Times, paru en décembre dernier, révélait que le réseau social américain avait donné à ces sociétés un accès privilégié aux messages privés, aux contacts et à d’autres données de ses utilisateurs, parfois sans le consentement de ceux-ci. Facebook a nié avoir transmis des données de ses utilisateurs sans leur consentement et a dit avoir mis fin à la plupart de ces partenariats.
Le New York Times précise ne pas connaître la date à laquelle l’enquête a été ouverte.
“Nous coopérons avec les enquêteurs et prenons ces investigations très au sérieux”, a dit Facebook dans un communiqué transmis au journal.
Le réseau social se trouvait déjà dans le viseur de l’Autorité américaine de la concurrence (FTC, Federal Trade Commission) et d’une commission sénatoriale pour ces contrats qui ont concerné aussi plusieurs entreprises chinoises, dont Huawei.
Une amende devait être infligée à Facebook par les autorités américaines après le scandale Cambridge Analytica, le cabinet d’analyses qui a eu accès aux données de 50 millions d’utilisateurs.
Un précédent article du New York Times, paru en décembre dernier, révélait que le réseau social américain avait donné à ces sociétés un accès privilégié aux messages privés, aux contacts et à d’autres données de ses utilisateurs, parfois sans le consentement de ceux-ci. Facebook a nié avoir transmis des données de ses utilisateurs sans leur consentement et a dit avoir mis fin à la plupart de ces partenariats.
Le New York Times précise ne pas connaître la date à laquelle l’enquête a été ouverte.
“Nous coopérons avec les enquêteurs et prenons ces investigations très au sérieux”, a dit Facebook dans un communiqué transmis au journal.
Le réseau social se trouvait déjà dans le viseur de l’Autorité américaine de la concurrence (FTC, Federal Trade Commission) et d’une commission sénatoriale pour ces contrats qui ont concerné aussi plusieurs entreprises chinoises, dont Huawei.
Une amende devait être infligée à Facebook par les autorités américaines après le scandale Cambridge Analytica, le cabinet d’analyses qui a eu accès aux données de 50 millions d’utilisateurs.