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Le but est "d'expérimenter un format différent pour la présentation de la couverture de l'actualité en ligne", ont expliqué deux responsables de Google, Neha Singh et Josh Cohen, sur le blog de la société.
Living stories regroupe l'ensemble de la couverture par un journal d'un sujet donné.
Ainsi, la couverture par le New York Times de la guerre en Afghanistan est disponible à partir d'une seule page web où sont proposés des liens vers des articles, des éditoriaux, des photos, des vidéos ou encore des infographies.
La page présente un résumé des principaux événements, une chronologie, des portraits et des liens vers des archives.
Les utilisateurs peuvent choisir selon quel mode ils consultent les articles, par ordre d'importance ou par date.
L'annonce de cette expérimentation intervient au moment où Google fait l'objet de critiques provenant du secteur de la presse, en particulier de la part du président de News Corp., Rupert Murdoch, qui a accusé le géant d'internet de profiter des contenus des journaux sans partager avec eux ses recettes publicitaires.
Le PDG de Google, Eric Schmidt, a répondu en affirmant que Google voulait "travailler aux côtés des patrons de presse pour les aider à toucher un public plus large, mieux fidéliser les lecteurs et gagner plus d'argent".
Les pages "Living stories", pour l'instant hébergées par Google, seront à terme disponibles sur les sites internet du Washington Post et du New York Times.
Living stories regroupe l'ensemble de la couverture par un journal d'un sujet donné.
Ainsi, la couverture par le New York Times de la guerre en Afghanistan est disponible à partir d'une seule page web où sont proposés des liens vers des articles, des éditoriaux, des photos, des vidéos ou encore des infographies.
La page présente un résumé des principaux événements, une chronologie, des portraits et des liens vers des archives.
Les utilisateurs peuvent choisir selon quel mode ils consultent les articles, par ordre d'importance ou par date.
L'annonce de cette expérimentation intervient au moment où Google fait l'objet de critiques provenant du secteur de la presse, en particulier de la part du président de News Corp., Rupert Murdoch, qui a accusé le géant d'internet de profiter des contenus des journaux sans partager avec eux ses recettes publicitaires.
Le PDG de Google, Eric Schmidt, a répondu en affirmant que Google voulait "travailler aux côtés des patrons de presse pour les aider à toucher un public plus large, mieux fidéliser les lecteurs et gagner plus d'argent".
Les pages "Living stories", pour l'instant hébergées par Google, seront à terme disponibles sur les sites internet du Washington Post et du New York Times.
