Huit membres de l'Association nationale des éditeurs de musique (NMPA), parmi lesquels des géants comme EMI Music Publishing, Universal Music ou encore Warner/Chappell, ont porté plainte à New York, demandant des dommages et intérêts d'un montant non précisé pour les violations commises selon eux "à grande échelle" par LimeWire.
"Les violations de droits d'auteurs généralisées permises par LimeWire et ses semblables ont des conséquences pour tout le monde dans la chaîne musicale", a souligné le directeur général de la NMPA, David Israelite.
"Les sociétés comme LimeWire doivent comprendre que les chansons qui rendent rentables leurs activités illégales ne se font pas toutes seules", a ajouté M. Israelite. "Derrière chaque chanson, il y a un vaste réseau: un compositeur, un éditeur, un artiste, un label".
Le mois dernier, un juge fédéral avait déjà tranché en faveur de 13 sociétés contre LimeWire, statuant que l'entreprise et son propriétaire Mark Gorton avaient violé les droits d'auteur et s'étaient livrés à de la concurrence déloyale.
Les plaignants avaient demandé la saisie immédiate des actifs de LimeWire, estimant que les dommages pourraient s'élever à "des centaines de millions de dollars, ou même à des milliards".
Le logiciel LimeWire, lancé en août 2000, permet aux internautes d'échanger des fichiers par la technologie "poste à poste". Il appartient à la société new-yorkaise Lime Group.
"Les violations de droits d'auteurs généralisées permises par LimeWire et ses semblables ont des conséquences pour tout le monde dans la chaîne musicale", a souligné le directeur général de la NMPA, David Israelite.
"Les sociétés comme LimeWire doivent comprendre que les chansons qui rendent rentables leurs activités illégales ne se font pas toutes seules", a ajouté M. Israelite. "Derrière chaque chanson, il y a un vaste réseau: un compositeur, un éditeur, un artiste, un label".
Le mois dernier, un juge fédéral avait déjà tranché en faveur de 13 sociétés contre LimeWire, statuant que l'entreprise et son propriétaire Mark Gorton avaient violé les droits d'auteur et s'étaient livrés à de la concurrence déloyale.
Les plaignants avaient demandé la saisie immédiate des actifs de LimeWire, estimant que les dommages pourraient s'élever à "des centaines de millions de dollars, ou même à des milliards".
Le logiciel LimeWire, lancé en août 2000, permet aux internautes d'échanger des fichiers par la technologie "poste à poste". Il appartient à la société new-yorkaise Lime Group.