
Susan Rushworth, Suzanne Blamires et Shelley Armitage
"J'ai décidé qu'il y avait assez d'éléments pour inculper Stephen Griffiths pour leurs meurtres, et qu'il était dans l'intérêt du public de le faire", a déclaré le responsable du parquet à la presse à Bradford.
Stephen Griffiths devait comparaître devant la justice à Bradford vendredi, a précisé le procureur.
Les victimes, Susan Rushworth, 43 ans, Shelley Armitage, 31 ans, et Suzanne Blamires, 36 ans, avaient disparu respectivement en juin 2009, en avril 2010 et vendredi dernier. La police a retrouvé mardi les restes de Suzanne Blamires dans une rivière de la région. Aucune trace des corps des deux autres victimes n'a été trouvée jusqu'ici.
Ces disparitions se sont produites dans le Yorkshire, le comté où a sévi dans les années 1970 Peter Sutcliffe, surnommé "l'éventreur du Yorkshire", qui avait tué 13 femmes et se trouve toujours en prison.
Le procureur Mann a souligné que Stephen Griffiths avait le droit à un procès équitable et qu'il "était donc extrêmement important que rien ne soit publié qui puisse être préjudiciable à son procès".
Selon la loi britannique, à partir du moment où un suspect est inculpé, les médias ne doivent publier aucun détail qui puisse influencer un jury.
Stephen Griffiths devait comparaître devant la justice à Bradford vendredi, a précisé le procureur.
Les victimes, Susan Rushworth, 43 ans, Shelley Armitage, 31 ans, et Suzanne Blamires, 36 ans, avaient disparu respectivement en juin 2009, en avril 2010 et vendredi dernier. La police a retrouvé mardi les restes de Suzanne Blamires dans une rivière de la région. Aucune trace des corps des deux autres victimes n'a été trouvée jusqu'ici.
Ces disparitions se sont produites dans le Yorkshire, le comté où a sévi dans les années 1970 Peter Sutcliffe, surnommé "l'éventreur du Yorkshire", qui avait tué 13 femmes et se trouve toujours en prison.
Le procureur Mann a souligné que Stephen Griffiths avait le droit à un procès équitable et qu'il "était donc extrêmement important que rien ne soit publié qui puisse être préjudiciable à son procès".
Selon la loi britannique, à partir du moment où un suspect est inculpé, les médias ne doivent publier aucun détail qui puisse influencer un jury.