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Félix Dorfin, 35 ans, avait été arrêté en septembre dernier à l’aéroport international de l’île touristique de Lombok, près de Bali, en possession de près de 4 kg de drogue, selon les autorités.
“Le juge a alourdi la sentence (par rapport aux réquisitions du parquet) en raison de la quantité et du type de drogue que Dorfin transportait”, a déclaré à Reuters son avocat commis d’office, Denny Nur Indra.
Il a ajouté que son client, “sous le choc”, allait faire appel de sa condamnation.
Félix Dorfin transportait dans le double fond d’une valise de grandes quantités d’ecstasy, d’amphétamines et de cocaïne, a déclaré le procureur indonésien qui l’a présenté comme un coursier pour un réseau de trafiquants internationaux.
Il avait réussi à s’évader en janvier mais il a été repris une dizaine de jours plus tard par la police de Lombok.
Il rejoint dans le couloir de la mort un autre Français, Serge Atlaoui, condamné en 2007 pour trafic de drogue. A Paris, le Quai d’Orsay n’a pas encore réagi à sa condamnation.
Les autorités indonésiennes, réputées très sévères en la matière, appliquent depuis 2016 un moratoire non officiel sur les exécutions de trafiquants.
“Le juge a alourdi la sentence (par rapport aux réquisitions du parquet) en raison de la quantité et du type de drogue que Dorfin transportait”, a déclaré à Reuters son avocat commis d’office, Denny Nur Indra.
Il a ajouté que son client, “sous le choc”, allait faire appel de sa condamnation.
Félix Dorfin transportait dans le double fond d’une valise de grandes quantités d’ecstasy, d’amphétamines et de cocaïne, a déclaré le procureur indonésien qui l’a présenté comme un coursier pour un réseau de trafiquants internationaux.
Il avait réussi à s’évader en janvier mais il a été repris une dizaine de jours plus tard par la police de Lombok.
Il rejoint dans le couloir de la mort un autre Français, Serge Atlaoui, condamné en 2007 pour trafic de drogue. A Paris, le Quai d’Orsay n’a pas encore réagi à sa condamnation.
Les autorités indonésiennes, réputées très sévères en la matière, appliquent depuis 2016 un moratoire non officiel sur les exécutions de trafiquants.
