Il n'a pas été possible dans l'immédiat de confirmer cette information auprès de sources algériennes ou libyennes.
"Six Mercedes blindées sont entrées ce matin vendredi dans la ville de Ghadamès", a affirmé la Mena en citant une source du conseil militaire libyen dans cette localité, située à la frontière avec l'Algérie.
Les voitures ont été escortées jusqu'à leur entrée en Algérie par une "brigade" (katiba) militaire loyaliste, a-t-elle poursuivi, en ajoutant que les rebelles n'avaient pas pu les pourchasser en raison d'un manque de munitions et d'équipements.
"On pense qu'elles (les voitures) transportent de hauts responsables libyens, possiblement Kadhafi et ses fils", a poursuivi cette source.
Mouammar Kadhafi reste introuvable depuis que les rebelles ont pris la capitale libyenne Tripoli.
L'Algérie observe une "stricte neutralité en refusant de s'ingérer, de quelque manière que ce soit, dans les affaires intérieures" de la Libye voisine, a déclaré vendredi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Amar Belani.
Il s'agissait de la première réaction officielle algérienne depuis que les rebelles libyens contrô lent quasiment Tripoli.
Alger n'a pas reconnu le Conseil national de transition (CNT), organe politique de la rébellion libyenne, et n'a jamais demandé officiellement le départ de Mouammar Kadhafi.
"Six Mercedes blindées sont entrées ce matin vendredi dans la ville de Ghadamès", a affirmé la Mena en citant une source du conseil militaire libyen dans cette localité, située à la frontière avec l'Algérie.
Les voitures ont été escortées jusqu'à leur entrée en Algérie par une "brigade" (katiba) militaire loyaliste, a-t-elle poursuivi, en ajoutant que les rebelles n'avaient pas pu les pourchasser en raison d'un manque de munitions et d'équipements.
"On pense qu'elles (les voitures) transportent de hauts responsables libyens, possiblement Kadhafi et ses fils", a poursuivi cette source.
Mouammar Kadhafi reste introuvable depuis que les rebelles ont pris la capitale libyenne Tripoli.
L'Algérie observe une "stricte neutralité en refusant de s'ingérer, de quelque manière que ce soit, dans les affaires intérieures" de la Libye voisine, a déclaré vendredi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Amar Belani.
Il s'agissait de la première réaction officielle algérienne depuis que les rebelles libyens contrô lent quasiment Tripoli.
Alger n'a pas reconnu le Conseil national de transition (CNT), organe politique de la rébellion libyenne, et n'a jamais demandé officiellement le départ de Mouammar Kadhafi.