Accueil
Actus
Le TIFF, qui se targue d''''être le deuxième rendez-vous de la planète cinéma après Cannes, mais devant son éternel rival, La Mostra de Venise, accueillera du 8 au 18 septembre les premières nord-américaines des réalisateurs Pedro Almodovar, Nanni Moretti, George Clooney, Madonna, David Cronenberg et du controversé Lars Von Trier.
Le grand bal torontois s''''ouvrira avec "From de Sky Down", documentaire sur le célèbre groupe rock irlandais U2 signé par le cinéaste Davis Guggenheim, qui était déjà derrière "Une vérité qui dérange", oeuvre sur le réchauffement climatique mettant en vedette l''''ex-vice-président américain Al Gore.
"C''''est la première fois en 36 ans que le Festival international des films de Toronto s''''ouvre sur un documentaire", a commenté dans un communiqué Cameron Bailey, co-directeur de la grand-messe torontoise.
Le festival projettera aussi les premières mondiales de "The Lady", oeuvre attendue du cinéaste français Luc Besson sur la vie de la célèbre opposante birmane Aung San Suu Kyi, "Twixt" de l''''homme derrière "le Parrain", Francis Ford Coppola, et "Moneyball" mettant en vedette Brad Pitt.
Le festival ne compte pas de compétition officielle avec jury, comme c''''est le cas à Cannes, Venise et Berlin, --ce qui contribue à son atmosphère plus détendue--, mais un prix.
Le TIFF est perçu par l''''industrie comme une formidable rampe de lancement pour conquérir le public et les critiques américains, de même qu''''un baromètre des prochains succès dans les salles des Etats-Unis et du Canada, voire pour les Oscars.
Le grand bal torontois s''''ouvrira avec "From de Sky Down", documentaire sur le célèbre groupe rock irlandais U2 signé par le cinéaste Davis Guggenheim, qui était déjà derrière "Une vérité qui dérange", oeuvre sur le réchauffement climatique mettant en vedette l''''ex-vice-président américain Al Gore.
"C''''est la première fois en 36 ans que le Festival international des films de Toronto s''''ouvre sur un documentaire", a commenté dans un communiqué Cameron Bailey, co-directeur de la grand-messe torontoise.
Le festival projettera aussi les premières mondiales de "The Lady", oeuvre attendue du cinéaste français Luc Besson sur la vie de la célèbre opposante birmane Aung San Suu Kyi, "Twixt" de l''''homme derrière "le Parrain", Francis Ford Coppola, et "Moneyball" mettant en vedette Brad Pitt.
Le festival ne compte pas de compétition officielle avec jury, comme c''''est le cas à Cannes, Venise et Berlin, --ce qui contribue à son atmosphère plus détendue--, mais un prix.
Le TIFF est perçu par l''''industrie comme une formidable rampe de lancement pour conquérir le public et les critiques américains, de même qu''''un baromètre des prochains succès dans les salles des Etats-Unis et du Canada, voire pour les Oscars.
