Le prix "Choix de l'Orient 2012" sera décerné mardi par 18 étudiants originaires de cinq pays arabes comme le Liban, l'Egypte ou les Territoires palestiniens à l'un des huit livres de la seconde sélection du Goncourt. L'ouvrage récompensé sera traduit en arabe.
Le jury du prestigieux prix est attendu mardi dans la capitale libanaise où il doit annoncer les quatre ouvrages finalistes en compétition pour le prix qui sera décerné par l'Académie Goncourt le 7 novembre à Paris.
Le Salon du livre de Beyrouth, qui dure jusqu'au 4 novembre, accueille plus de 80.000 visiteurs par an. Lancé en 1992, il est le troisième salon francophone au monde après celui de Paris et de Montréal et se veut une passerelle entre l'Orient et l'espace francophone.
A cette occasion, Yamina Benguigui, ministre déléguée en charge de la Francophonie, a souligné que "l'espace francophone ne passe pas que Paris".
"L'espace francophone, ce sont des nations qui partagent la langue française, débarrassée des oripeaux du colonialisme pour être avant tout une langue égalitaire, solidaire et une langue de commerce à égalité", a-t-elle dit.
Au Liban, membre de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF), les écoles offrant le français comme seconde langue représentent encore 60% des établissements. Malgré l'absence de statistiques officielles, on évalue à environ 38% le nombre de Libanais qui peuvent -peu ou bien- s'exprimer en français.
Le jury du prestigieux prix est attendu mardi dans la capitale libanaise où il doit annoncer les quatre ouvrages finalistes en compétition pour le prix qui sera décerné par l'Académie Goncourt le 7 novembre à Paris.
Le Salon du livre de Beyrouth, qui dure jusqu'au 4 novembre, accueille plus de 80.000 visiteurs par an. Lancé en 1992, il est le troisième salon francophone au monde après celui de Paris et de Montréal et se veut une passerelle entre l'Orient et l'espace francophone.
A cette occasion, Yamina Benguigui, ministre déléguée en charge de la Francophonie, a souligné que "l'espace francophone ne passe pas que Paris".
"L'espace francophone, ce sont des nations qui partagent la langue française, débarrassée des oripeaux du colonialisme pour être avant tout une langue égalitaire, solidaire et une langue de commerce à égalité", a-t-elle dit.
Au Liban, membre de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF), les écoles offrant le français comme seconde langue représentent encore 60% des établissements. Malgré l'absence de statistiques officielles, on évalue à environ 38% le nombre de Libanais qui peuvent -peu ou bien- s'exprimer en français.