Jacqueline de Romilly
"Je ne peux pas encore en dire plus, mais il s'agit d'un livre que Jacqueline de Romilly a écrit il y longtemps. Elle m'a confié le manuscrit en me demandant de ne publier l'ouvrage qu'après sa mort", a expliqué M. de Fallois.
"C'est un livre autobiographique et elle n'avait pas envie d'être appelée à le commenter. Il paraîtra dans un mois à un mois et demi", a ajouté l'éditeur.
Par ailleurs, les éditions de Fallois vont lancer la réimpression de 10.000 exemplaires du dernier ouvrage de Mme de Romilly sorti en mai dernier, "La grandeur de l'homme au siècle de Périclès", ainsi que du reste de son oeuvre dont il n'existe plus que 1.500 à 2.000 exemplaires, a précisé Bernard de Fallois, relevant que les livres de l'Académicienne se vendaient en moyenne à 10.000 exemplaires et parfois beaucoup plus pour certains d'entre eux.
Née Jacqueline David le 26 mars 1913, première femme lauréate au concours général, puis première normalienne intégrant la rue d'Ulm, première femme, en 1973, à devenir professeur au Collège de France et deuxième, en 1989, après Marguerite Yourcenar, à siéger à l'Académie française, cette grande intellectuelle avait été interdite d'enseignement pendant l'Occupation allemande.
"C'est un livre autobiographique et elle n'avait pas envie d'être appelée à le commenter. Il paraîtra dans un mois à un mois et demi", a ajouté l'éditeur.
Par ailleurs, les éditions de Fallois vont lancer la réimpression de 10.000 exemplaires du dernier ouvrage de Mme de Romilly sorti en mai dernier, "La grandeur de l'homme au siècle de Périclès", ainsi que du reste de son oeuvre dont il n'existe plus que 1.500 à 2.000 exemplaires, a précisé Bernard de Fallois, relevant que les livres de l'Académicienne se vendaient en moyenne à 10.000 exemplaires et parfois beaucoup plus pour certains d'entre eux.
Née Jacqueline David le 26 mars 1913, première femme lauréate au concours général, puis première normalienne intégrant la rue d'Ulm, première femme, en 1973, à devenir professeur au Collège de France et deuxième, en 1989, après Marguerite Yourcenar, à siéger à l'Académie française, cette grande intellectuelle avait été interdite d'enseignement pendant l'Occupation allemande.