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L'homme au chapeau de cow-boy a violemment frappé d'un coup de coude un militant anti-Trump lors d'un meeting du candidat républicain en Caroline du Nord.
Le militant anti-Trump, Rakeem Jones, était venu militer avec un groupe d’amis lors du meeting afin d’y scander des slogans contre le candidat républicain et pro « Black live matter », un mouvement en faveur des droits de la communauté Noire aux Etats-Unis. Les forces de l’ordre repèrent le groupe et l’évacuent, c’est alors que le jeune militant est violemment frappé au visage d’un coup de coude par un homme portant un chapeau de cow-boy.
« La prochaine fois, nous devrions peut-être le tuer »
L’agresseur retourne tranquillement à sa place tandis que Rakeem Jones est plaqué au sol par la sécurité. Mais la vidéo a fortement mobilisé les internautes, qui ont lancé une campagne sur Twitter afin de retrouver l’agresseur. John McGraw, un homme de 78 ans, est finalement interpellé à son domicile et inculpé pour « agression, voie de fait et trouble à l’ordre public ».
Dans une interview réalisée à chaud après les faits, le vieil homme se félicite de son acte : « la prochaine fois, nous devrions peut-être le tuer ». « Evidemment que j’ai aimé faire ça, lui fermer sa grande bouche ». Puis il ajoute : « on ne sait pas s’il appartient à l’organisation Etat Islamique. On ne sait pas qui il est, mais nous savons qu’il n’agit pas comme un Américain. S’il veut être mis dehors, je le mettrai dehors ».
« La prochaine fois, nous devrions peut-être le tuer »
L’agresseur retourne tranquillement à sa place tandis que Rakeem Jones est plaqué au sol par la sécurité. Mais la vidéo a fortement mobilisé les internautes, qui ont lancé une campagne sur Twitter afin de retrouver l’agresseur. John McGraw, un homme de 78 ans, est finalement interpellé à son domicile et inculpé pour « agression, voie de fait et trouble à l’ordre public ».
Dans une interview réalisée à chaud après les faits, le vieil homme se félicite de son acte : « la prochaine fois, nous devrions peut-être le tuer ». « Evidemment que j’ai aimé faire ça, lui fermer sa grande bouche ». Puis il ajoute : « on ne sait pas s’il appartient à l’organisation Etat Islamique. On ne sait pas qui il est, mais nous savons qu’il n’agit pas comme un Américain. S’il veut être mis dehors, je le mettrai dehors ».
