Le ministre de la Santé et de la protection infantile, le Dr Obediah Moyo, "a confirmé la mort de Zororo Makamba, le deuxième patient testé positif au virus Covid-19 au Zimbabwe", selon son bureau.
Ce patient, un journaliste zimbabwéen de 30 ans, était rentré le 9 mars au Zimbabwe via Johannesburg (Afrique du Sud), après un séjour à New York.
Lundi soir, le président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa a par ailleurs annoncé une série de nouvelles mesures pour lutter contre le virus, dont la fermeture des frontières, sauf pour le transport de marchandises, et l'interdiction des rassemblements de plus de 50 personnes.
Les autorités avaient précédemment déjà décrété la fermeture des écoles et interdit à tout membre du gouvernement de voyager à l'étranger.
Mais la semaine dernière, le président lui-même est passé outre cette dernière mesure: il s'est rendu en Namibie pour la prestation de serment samedi de son homologue, Hage Geingob.
Une poignée de chefs d'Etat avaient fait le déplacement, dont le président du Botswana Mokgweetsi Masisi, qui, dès son retour au pays, a été placé en quarantaine ce week-end.
L'impact de l'épidémie pourrait être catastrophique en Afrique, et notamment au Zimbabwe, pays plongé depuis deux décennies dans une crise économique et qui a renoué, il y a deux ans, avec les pénuries en tout genre (carburants, médicaments ou électricité).
Ce patient, un journaliste zimbabwéen de 30 ans, était rentré le 9 mars au Zimbabwe via Johannesburg (Afrique du Sud), après un séjour à New York.
Lundi soir, le président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa a par ailleurs annoncé une série de nouvelles mesures pour lutter contre le virus, dont la fermeture des frontières, sauf pour le transport de marchandises, et l'interdiction des rassemblements de plus de 50 personnes.
Les autorités avaient précédemment déjà décrété la fermeture des écoles et interdit à tout membre du gouvernement de voyager à l'étranger.
Mais la semaine dernière, le président lui-même est passé outre cette dernière mesure: il s'est rendu en Namibie pour la prestation de serment samedi de son homologue, Hage Geingob.
Une poignée de chefs d'Etat avaient fait le déplacement, dont le président du Botswana Mokgweetsi Masisi, qui, dès son retour au pays, a été placé en quarantaine ce week-end.
L'impact de l'épidémie pourrait être catastrophique en Afrique, et notamment au Zimbabwe, pays plongé depuis deux décennies dans une crise économique et qui a renoué, il y a deux ans, avec les pénuries en tout genre (carburants, médicaments ou électricité).