La commission interne dirigée par le député socialiste propose de mettre en lice des personnalités issues du PS ou d'autres organisations (Verts, PCF, Parti de gauche, Parti radical de gauche ou Mouvement républicain et citoyen), à l'instar de ce qui s'est fait en Italie en 2005.
L'objectif numéro un serait de "donner la plus grande dynamique possible au vainqueur", puisque le scrutin serait ouvert à un nombre beaucoup plus considérable d'électeurs que les seuls 150.000 militants socialistes, souligne le rapport.
Ce projet est conçu comme "une implacable machine à rassembler" afin de désigner un "leader légitime" face à Nicolas Sarkozy, ajoute le texte. Cette primaire de "toutes les gauches" viserait à favoriser pour le candidat un score au premier tour "supérieur à 30%".
Le rapport souligne la puissance de l'investiture par 4,3 millions de citoyens du centriste italien Romano Prodi lors de primaires semblables en 2005 et de l'actuel président américain Barak Obama, avec 35 millions de citoyens en 2008.
S'il décidait de se porter candidat, tout membre de la direction du PS, y compris son premier secrétaire, devrait se mettre en congé de ses fonctions. Afin de donner leurs chances à "des candidats nouveaux, différents", les conditions de parrainage seraient souples.
Cet exercice de participation populaire débuterait en février 2011 par une phase dite "d'éliminatoires" de quatre mois.
Un premier vote éliminatoire serait organisé dans dix départements et permettrait de retenir les candidats ayant dépassé le seuil de 5% des voix. Ceux-ci seraient soumis à un deuxième tour dans vingt autres départements avec une barre de "sélection" à 10%. Un troisième tour aurait lieu dans les départements restants.
Seuls les concurrents ayant dépassé 15% des votants seraient alors habilités à se présenter au premier tour de la "grande" primaire. La phase finale serait organisée sous la forme d'un scrutin uninominal à deux tours au plan national.
L'objectif numéro un serait de "donner la plus grande dynamique possible au vainqueur", puisque le scrutin serait ouvert à un nombre beaucoup plus considérable d'électeurs que les seuls 150.000 militants socialistes, souligne le rapport.
Ce projet est conçu comme "une implacable machine à rassembler" afin de désigner un "leader légitime" face à Nicolas Sarkozy, ajoute le texte. Cette primaire de "toutes les gauches" viserait à favoriser pour le candidat un score au premier tour "supérieur à 30%".
Le rapport souligne la puissance de l'investiture par 4,3 millions de citoyens du centriste italien Romano Prodi lors de primaires semblables en 2005 et de l'actuel président américain Barak Obama, avec 35 millions de citoyens en 2008.
S'il décidait de se porter candidat, tout membre de la direction du PS, y compris son premier secrétaire, devrait se mettre en congé de ses fonctions. Afin de donner leurs chances à "des candidats nouveaux, différents", les conditions de parrainage seraient souples.
Cet exercice de participation populaire débuterait en février 2011 par une phase dite "d'éliminatoires" de quatre mois.
Un premier vote éliminatoire serait organisé dans dix départements et permettrait de retenir les candidats ayant dépassé le seuil de 5% des voix. Ceux-ci seraient soumis à un deuxième tour dans vingt autres départements avec une barre de "sélection" à 10%. Un troisième tour aurait lieu dans les départements restants.
Seuls les concurrents ayant dépassé 15% des votants seraient alors habilités à se présenter au premier tour de la "grande" primaire. La phase finale serait organisée sous la forme d'un scrutin uninominal à deux tours au plan national.