"Copenhague est privé de sa Petite Sirène pendant six mois et nous pensions qu'il fallait la remplacer. C'est le 1er avril, après tout!", explique à l'AFP Hanne Strager, responsable des expositions au Muséum d'histoire naturelle de Copenhague.
Doté d'une queue de poisson, le squelette, très bien imité, a été allongé sur le rocher dans la même position que la véritable statue de la Petite Sirène et a été exposé deux heures au grand plaisir des touristes.
"La sirène a été faite avec la moitié d'un squelette humain et l'autre moitié avec un espadon", dit Mme Strager. "Beaucoup de passants ont trouvé ça très drôle et se sont mitraillés en photo devant la sirène", raconte-t-elle.
La célèbre statue de la Petite Sirène a quitté la semaine dernière pour la première fois en près d'un siècle son rocher du port de Copenhague pour l'exposition universelle de Shanghai, où elle doit être exposée dans le pavillon danois jusqu'en novembre.
A l'occasion du 1er avril, le muséum d'Histoire naturelle de Copenhague avait envoyé aux rédactions un communiqué prétendant que la petite Sirène était "revenue".
Le musée affirmait que le soi-disant vrai squelette était le seul squelette complet de l'"Hydronymphus pesci", une espèce prétendument éteinte à la fin du XVIIe siècle et dont le musée danois détiendrait des restes depuis le début du XVIIIe siècle.
Il prétendait qu'un autre squelette de sirène se trouvait dans le musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg, mais que celui-ci n'était "pas aussi complet que l'exemplaire de Copenhague", parce que sa queue manquait.
La Petite Sirène, un conte de 1837 de l'écrivain danois Hans Christian Andersen, raconte l'histoire d'une sirène, être légendaire mi-humain mi-poisson, amoureuse d'un humain.
Le faux squelette a été ramené au Muséum où il sera exposé durant les congés de Pâques, a indiqué Mme Strager.
Doté d'une queue de poisson, le squelette, très bien imité, a été allongé sur le rocher dans la même position que la véritable statue de la Petite Sirène et a été exposé deux heures au grand plaisir des touristes.
"La sirène a été faite avec la moitié d'un squelette humain et l'autre moitié avec un espadon", dit Mme Strager. "Beaucoup de passants ont trouvé ça très drôle et se sont mitraillés en photo devant la sirène", raconte-t-elle.
La célèbre statue de la Petite Sirène a quitté la semaine dernière pour la première fois en près d'un siècle son rocher du port de Copenhague pour l'exposition universelle de Shanghai, où elle doit être exposée dans le pavillon danois jusqu'en novembre.
A l'occasion du 1er avril, le muséum d'Histoire naturelle de Copenhague avait envoyé aux rédactions un communiqué prétendant que la petite Sirène était "revenue".
Le musée affirmait que le soi-disant vrai squelette était le seul squelette complet de l'"Hydronymphus pesci", une espèce prétendument éteinte à la fin du XVIIe siècle et dont le musée danois détiendrait des restes depuis le début du XVIIIe siècle.
Il prétendait qu'un autre squelette de sirène se trouvait dans le musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg, mais que celui-ci n'était "pas aussi complet que l'exemplaire de Copenhague", parce que sa queue manquait.
La Petite Sirène, un conte de 1837 de l'écrivain danois Hans Christian Andersen, raconte l'histoire d'une sirène, être légendaire mi-humain mi-poisson, amoureuse d'un humain.
Le faux squelette a été ramené au Muséum où il sera exposé durant les congés de Pâques, a indiqué Mme Strager.