Hewlett-Packard a annoncé vendredi la livraison par SpaceX Dragon d'un superordinateur dans l'espace lundi prochain dans le cadre d'une expérience avec l'agence spatiale américaine (NASA).
L'appareil a une durée de vie d'un an, ce qui représente à peu près la durée d'un trajet vers Mars.
"Une mission sur Mars nécessitera d'embarquer des ressources informatiques sophistiquées capables de fonctionner pendant de longues périodes", a indiqué Alain Andreoil, vice-président et directeur général du centre de données de Hewlett-Packard sur un blog.
"Pour satisfaire ces exigences, nous devons améliorer la durabilité de la technologie dans l'espace afin de mieux garantir le succès de la mission. En envoyant un superordinateur dans l'espace, Hewlett-Packard fait un premier pas dans cette direction."
A l'heure actuelle, la plupart des calculs nécessaires pour la recherche spatiales se font sur Terre en raison des capacités informatiques limitées dans l'espace.
Bien que cette approche fonctionne pour l'exploration lunaire ou en orbite terrestre basse, les communications mettent 20 minutes à atteindre la Terre puis 20 minutes de plus pour revenir vers les astronautes sur des sites plus proches de Mars.
"Un long décalage de communication pourrait compliquer l'exploration au sol, voire la rendre dangereuse si les astronautes sont confrontés à des situations graves qu'ils ne peuvent pas résoudre tout seuls", a souligné M. Andreoil.
L'appareil a une durée de vie d'un an, ce qui représente à peu près la durée d'un trajet vers Mars.
"Une mission sur Mars nécessitera d'embarquer des ressources informatiques sophistiquées capables de fonctionner pendant de longues périodes", a indiqué Alain Andreoil, vice-président et directeur général du centre de données de Hewlett-Packard sur un blog.
"Pour satisfaire ces exigences, nous devons améliorer la durabilité de la technologie dans l'espace afin de mieux garantir le succès de la mission. En envoyant un superordinateur dans l'espace, Hewlett-Packard fait un premier pas dans cette direction."
A l'heure actuelle, la plupart des calculs nécessaires pour la recherche spatiales se font sur Terre en raison des capacités informatiques limitées dans l'espace.
Bien que cette approche fonctionne pour l'exploration lunaire ou en orbite terrestre basse, les communications mettent 20 minutes à atteindre la Terre puis 20 minutes de plus pour revenir vers les astronautes sur des sites plus proches de Mars.
"Un long décalage de communication pourrait compliquer l'exploration au sol, voire la rendre dangereuse si les astronautes sont confrontés à des situations graves qu'ils ne peuvent pas résoudre tout seuls", a souligné M. Andreoil.