Né le 24 février 1909 à Chebbia, faubourg de la ville de Tozeur, dans le sud-ouest tunisien, Aboul Qacem Chebbi avait reçu ses études primaires dans diverses écoles coraniques disséminées dans tout le pays, au gré des affectations de son père, juge de son état.
Après des études secondaires à la Mosquée de la Zitouna, il avait rejoint l’Ecole tunisienne de droit dont il obtint le diplôme en 1930.
Ses talents littéraires se sont manifestés dans des poèmes, des articles de presse et des conférences, dont en particulier une conférence restée dans les annales, intitulée l’imagination poétique chez les Arabes.
Ses poésies ont marqué un tournant dans l’histoire de la poésie arabe en incarnant, après un détour par les révélations du romantisme, le passage du courant traditionaliste à celui de la modernité, ce qui a fait que son souvenir demeure dans la mémoire poétique arabe et universelle.
Chebbi s’était aussi distingué par sa ferveur patriotique lui qui, à travers ses poèmes, avait combattu toutes les formes du colonialisme, jusqu’à sa mort le 9 octobre 1934 après une longue lutte contre la maladie.
Il avait légué à la prospérité une œuvre poétique considérable, dont son recueil « les Chants de la Vie ».
Après des études secondaires à la Mosquée de la Zitouna, il avait rejoint l’Ecole tunisienne de droit dont il obtint le diplôme en 1930.
Ses talents littéraires se sont manifestés dans des poèmes, des articles de presse et des conférences, dont en particulier une conférence restée dans les annales, intitulée l’imagination poétique chez les Arabes.
Ses poésies ont marqué un tournant dans l’histoire de la poésie arabe en incarnant, après un détour par les révélations du romantisme, le passage du courant traditionaliste à celui de la modernité, ce qui a fait que son souvenir demeure dans la mémoire poétique arabe et universelle.
Chebbi s’était aussi distingué par sa ferveur patriotique lui qui, à travers ses poèmes, avait combattu toutes les formes du colonialisme, jusqu’à sa mort le 9 octobre 1934 après une longue lutte contre la maladie.
Il avait légué à la prospérité une œuvre poétique considérable, dont son recueil « les Chants de la Vie ».