Khaled Zabarqa, avocat de Salah, a déclaré à Anadolu que l’audience de la Cour de première instance de Haïfa (nord), prévue pour lundi, a été reportée au mercredi, à la demande du tribunal.
Et Zabarqa d’ajouter que « le tribunal a justifié ce report par la non-obtention d’un rapport de la part de l’Autorité des prisons, relatif à un bracelet électronique, que portera Cheikh Raed Salah lors de son assignation à résidence ».
« Nous croyons, cependant, que c’est une procrastination claire des Autorités israéliennes au sujet de la libération de Cheikh Salah », a souligné Zabarqa.
La cour de première instance de Haïfa avait accepté, la semaine dernière, la demande de libération conditionnelle de Cheikh Salah, jusqu’à la fin des procédures judiciaires.
Les conditions de libération de Cheikh Raed Salah impliquent sa résidence dans la ville de Kafr Cana (nord) et non pas dans sa ville de Umm al-Fahm (nord), son assignement à résidence et l’interdiction de déclarer aux médias.
La Cour centrale israélienne de Beer Sheba (sud) avait, le 15 février dernier, prolongé de six mois le confinement solitaire du Sheikh Salah.
Cheikh Raed Salah avait été arrêté par la police israélienne, à son domicile à Umm al-Fahm, dans le nord du pays, à la mi-août 2017.
Il fait face à un acte d'accusation de 12 chefs d'inculpation, dont "l'incitation à la violence". Israël avait interdit le mouvement islamique en novembre 2015, pour de prétendues activités anti-israéliennes.
Cheikh Salah avait été libéré, le 17 janvier 2016, après neuf mois de détention, mais s'était vu imposer des restrictions à ses déplacements, notamment l'interdiction de voyager, ainsi que celle de se rendre à Jérusalem et à la mosquée Al-Aqsa, avant qu'il ne soit à nouveau arrêté.
Et Zabarqa d’ajouter que « le tribunal a justifié ce report par la non-obtention d’un rapport de la part de l’Autorité des prisons, relatif à un bracelet électronique, que portera Cheikh Raed Salah lors de son assignation à résidence ».
« Nous croyons, cependant, que c’est une procrastination claire des Autorités israéliennes au sujet de la libération de Cheikh Salah », a souligné Zabarqa.
La cour de première instance de Haïfa avait accepté, la semaine dernière, la demande de libération conditionnelle de Cheikh Salah, jusqu’à la fin des procédures judiciaires.
Les conditions de libération de Cheikh Raed Salah impliquent sa résidence dans la ville de Kafr Cana (nord) et non pas dans sa ville de Umm al-Fahm (nord), son assignement à résidence et l’interdiction de déclarer aux médias.
La Cour centrale israélienne de Beer Sheba (sud) avait, le 15 février dernier, prolongé de six mois le confinement solitaire du Sheikh Salah.
Cheikh Raed Salah avait été arrêté par la police israélienne, à son domicile à Umm al-Fahm, dans le nord du pays, à la mi-août 2017.
Il fait face à un acte d'accusation de 12 chefs d'inculpation, dont "l'incitation à la violence". Israël avait interdit le mouvement islamique en novembre 2015, pour de prétendues activités anti-israéliennes.
Cheikh Salah avait été libéré, le 17 janvier 2016, après neuf mois de détention, mais s'était vu imposer des restrictions à ses déplacements, notamment l'interdiction de voyager, ainsi que celle de se rendre à Jérusalem et à la mosquée Al-Aqsa, avant qu'il ne soit à nouveau arrêté.