Le Caire avait désapprouvé, hier dimanche, l'intention de l'UNESCO d'attribuer ce prix à Shawkan, détenu provisoire dans une prison égyptienne. Les autorités égyptiennes ont qualifié cette mesure de "manque de respect à l'égard de l'Etat de droit", et de "réaffirmation de ce qui précède concernant la politisation de l'UNESCO".
L'organisation onusienne a expliqué, dans un communiqué, qu'un jury international indépendant, composé de professionnels des médias, a choisi Shawkan pour lui attribuer le Prix mondial de la liberté de la presse de l'année courante.
Le communiqué a indiqué que "le photojournaliste, interpellé alors qu'il couvrait la manifestation de la place Rabaa al-Adawiya, au Caire, et a été emprisonné depuis le 14 août 2013", soulignant qu'une équipe onusienne a classé la détention de Shawkan de "arbitraire".
Maria Ressa, la présidente du Jury a considéré que "le choix de Shawkan rend hommage à son courage, à sa résistance et à son engagement de la liberté d'expression".
L'organisation onusienne a expliqué, dans un communiqué, qu'un jury international indépendant, composé de professionnels des médias, a choisi Shawkan pour lui attribuer le Prix mondial de la liberté de la presse de l'année courante.
Le communiqué a indiqué que "le photojournaliste, interpellé alors qu'il couvrait la manifestation de la place Rabaa al-Adawiya, au Caire, et a été emprisonné depuis le 14 août 2013", soulignant qu'une équipe onusienne a classé la détention de Shawkan de "arbitraire".
Maria Ressa, la présidente du Jury a considéré que "le choix de Shawkan rend hommage à son courage, à sa résistance et à son engagement de la liberté d'expression".