
Le premier poste de dépenses reste le logement qui représente 41% des dépenses totales, en hausse de 6%, "en partie à cause des loyers mais également du fait des frais d'assurances, des charges et de l'électricité". Un poids sur les budgets qui "est principalement dû au manque criant" de logements sociaux étudiants géré par les Centres régionaux des oeuvres universitaires et scolaires (CROUS).
Les frais décrétés par le ministère de l'Enseignement supérieur continuent de croître et "atteignent désormais 20% du budget total des étudiants pour le mois de septembre", poursuit la FAGE qui cite le ticket de restaurant universitaire (+3,45, la sécurité sociale étudiante (+1,07%), les frais d'inscription en licence (+1,7%) ou encore +2,6% en master et en doctorat.
Selon le 8e indicateur du syndicat, le coût annuel pour un étudiant non-boursier dans l'enseignement supérieur atteint désormais 14.500 euros, dénonçant des chiffres "de plus en plus indécents". "Alors qu'ils attendent l'officialisation du dixième mois de bourse pour tous qui n'arrive pas et que d'importantes menaces pèsent sur leurs aides au logement, les étudiants vont de nouveau vivre une rentrée coûteuse et difficile", dénonce la FAGE.
Le syndicat étudiant exige à nouveau la mise en place d'une allocation de rentrée étudiante de 400 euros à destination des étudiants boursiers et issus de la classe moyenne, à l'image de l'allocation de rentrée scolaire (ARS). Ainsi, selon lui, le coût de la rentrée serait réduit de 40% pour les étudiants issus de la classe moyenne et divisé par trois pour un étudiant boursier.
Les frais décrétés par le ministère de l'Enseignement supérieur continuent de croître et "atteignent désormais 20% du budget total des étudiants pour le mois de septembre", poursuit la FAGE qui cite le ticket de restaurant universitaire (+3,45, la sécurité sociale étudiante (+1,07%), les frais d'inscription en licence (+1,7%) ou encore +2,6% en master et en doctorat.
Selon le 8e indicateur du syndicat, le coût annuel pour un étudiant non-boursier dans l'enseignement supérieur atteint désormais 14.500 euros, dénonçant des chiffres "de plus en plus indécents". "Alors qu'ils attendent l'officialisation du dixième mois de bourse pour tous qui n'arrive pas et que d'importantes menaces pèsent sur leurs aides au logement, les étudiants vont de nouveau vivre une rentrée coûteuse et difficile", dénonce la FAGE.
Le syndicat étudiant exige à nouveau la mise en place d'une allocation de rentrée étudiante de 400 euros à destination des étudiants boursiers et issus de la classe moyenne, à l'image de l'allocation de rentrée scolaire (ARS). Ainsi, selon lui, le coût de la rentrée serait réduit de 40% pour les étudiants issus de la classe moyenne et divisé par trois pour un étudiant boursier.