Seules trois universités françaises (Pierre et Marie Curie, Paris Sud et l'ENS) figurent dans le Top 100 de ce palmarès des universités, l'un des plus en vue au monde, contre 48 pour les Etats-Unis, neuf pour le Royaume Uni et six pour l'Australie.
L'Université Pierre et Marie Curie, premier établissement français classé, perd une place est demeure à la 40ème position, suivie de l’Université Paris Sud qui gagne 5 places et se hisse au 41e rang, alors que l’Ecole normale supérieure de Paris a progressé nettement pour se placer à la 69e place (+18 par rapport à 2016).
Par ailleurs, la France a conservé sa sixième place dans le classement des cinq cents meilleures universités avec 20 établissements.
Dans un communiqué, le ministre de l'Enseignement supérieur, Frédérique Vidal a indiqué que "cette stabilité d’ensemble combinée à des progressions individuelles significatives témoigne de la solidité de la position des universités françaises, qui ont su s’affirmer face à une concurrence internationale devenue de plus en plus forte au cours des dix dernières années".
Il est toutefois nécessaire que ces classements puissent refléter fidèlement la nouvelle organisation de l’enseignement supérieur français, a-t-il dit, relevant que les grandes universités de recherche qui émergent actuellement à partir de regroupements universitaires ne figurent pas dans l’immense majorité des classements, à la différence de leurs membres.
L'Université Pierre et Marie Curie, premier établissement français classé, perd une place est demeure à la 40ème position, suivie de l’Université Paris Sud qui gagne 5 places et se hisse au 41e rang, alors que l’Ecole normale supérieure de Paris a progressé nettement pour se placer à la 69e place (+18 par rapport à 2016).
Par ailleurs, la France a conservé sa sixième place dans le classement des cinq cents meilleures universités avec 20 établissements.
Dans un communiqué, le ministre de l'Enseignement supérieur, Frédérique Vidal a indiqué que "cette stabilité d’ensemble combinée à des progressions individuelles significatives témoigne de la solidité de la position des universités françaises, qui ont su s’affirmer face à une concurrence internationale devenue de plus en plus forte au cours des dix dernières années".
Il est toutefois nécessaire que ces classements puissent refléter fidèlement la nouvelle organisation de l’enseignement supérieur français, a-t-il dit, relevant que les grandes universités de recherche qui émergent actuellement à partir de regroupements universitaires ne figurent pas dans l’immense majorité des classements, à la différence de leurs membres.