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Les destinations qui souffrent le plus de la crise sont les long-courriers en général (Asie, Amérique du Sud, Caraïbes...), sauf les États-Unis, le Mexique, et la République dominicaine qui tirent leur épingle du jeu. Autres pays en difficulté : les moyen-courriers "haut de gamme", comme la Scandinavie par exemple.
Les États-Unis conservent un bon niveau de réservation, portés par un dollar toujours favorable et par "l'Effet Obama", qui a mis la destination sous le feu des projecteurs. La Floride en tête (une des destinations les plus branchées du moment), New York et le Grand Ouest connaissant toujours les faveurs des Français.
En revanche, certaines destinations séduisent de plus en plus de touristes : les "petits prix" du bassin méditerranéen (Tunisie, Crète, Baléares, Égypte, Portugal...), les courts séjours (avec le développement des formules 5 jours/4 nuits), le camping et les locations en France (les campings ont vu leurs réservations augmenter de 21 % par rapport à l'année dernière). Grand succès également des rubriques "promos", "bons plans" et "dernière minute" en général, pour traquer la bonne affaire plutôt qu'une destination en particulier.
Où partir pour profiter des petits prix de la crise ?
La crise est synonyme de bonnes affaires sur certaines destinations... à condition de bien savoir choisir. Car s'il existe de vraies belles promotions sur certaines destinations, il ne faut pas compter sur une grande braderie générale. Pour les voyageurs qui en ont la possibilité, les destinations long-courriers ont souvent vu leurs prix diminuer après la baisse du cours du pétrole.
Pour les moyen-courriers, direction Londres (la baisse de la livre favorise les escapades imprévues : + 17 % de réservations par rapport à l'année dernière). Autres possibilités : les Baléares (Palma de Majorque), les Canaries (Gran Tenerife...), la Turquie (séjours dans la région d'Antalya et courts séjours à Istanbul notamment) : ces destinations, qui souffrent de la désaffection des Britanniques (dont le pouvoir d'achat a été altéré par la forte dévaluation de la livre), regorgent de belles promotions sur la période printemps-été.
Du côté des long-courriers, les Seychelles et l'île Maurice ont le vent en poupe : traditionnellement tournées vers le tourisme haut de gamme, les îles de l'océan Indien, très affectées par la crise, pratiquent des prix très intéressants pour attirer une nouvelle clientèle. Sur Promovacances par exemple, des séjours de 10 jours à l'île Maurice sont proposés à partir de 849 euros en hôtel deux étoiles de charme (départs les 9, 16, 23 et 28 juin) ou à partir de 899 euros en hôtel trois étoiles (départs les 12, 19 et 31 mai, les 9, 16, 23 et 28 juin). 10 jours aux Seychelles en hôtel trois étoiles fluctuent autour de 1.000 euros TTC selon les dates (avec des promos ponctuelles sous la barre des 1.000 euros en dernière minute). À savoir : pour encourager les réservations, les Seychelles et l'île Maurice ont exceptionnellement assoupli leurs conditions d'entrée et autorisent les citoyens français à entrer sur leur territoire avec une simple carte d'identité jusqu'au 30 juin.
Le Mexique bénéficie toujours d'un effet dollar favorable (promotions à partir de 800 euros les 9 jours/7 nuits avec vols et hébergement). C'est l'une des destinations long-courriers les plus intéressantes de la saison, avec la République dominicaine (9 jours en quatre étoiles, en formule tout compris à partir de 799 euros TTC).
Les Antilles, fortement impactées par la crise sociale du début d'année, proposent de belles formules Spécial Relance (six nuits payantes = une nuit offerte). Sur Promovacances toujours, neuf jours à la Guadeloupe à partir de 599 euros en hôtel trois étoiles, avec vols inclus et petits déjeuners (départs en septembre).
La croisière 2 Dauphins dans les îles Grenadines est à partir de 799 euros TTC (avec vols A/R, la croisière en catamaran et la pension complète). Avec la formule "Cuisine active", les passagers font eux-mêmes la cuisine et la vaisselle, pour un voyage plus économique. Les célibataires ont aussi la possibilité de partir en solo sans payer de supplément : ils sont logés en cabine partagée, dans une cabine twin (à deux lits qui peuvent être superposés) partagée avec un autre passager du même sexe. Cette formule de logement évite de payer le supplément cabine individuelle et permet même parfois d'avoir une réduction sur le tarif base double.
Les petits "trucs" à savoir pour dénicher un bon plan
Penser à se connecter régulièrement sur les sites de voyagistes et à s'abonner aux newsletters et alertes , pour ne manquer aucune bonne affaire, notamment dans les rubriques "bons plans", "promos" et "dernière minute".
Partir en décalé : les mois de mai (hors pont) et juin regorgent de bonnes affaires pour les couples et les célibataires. La première semaine de juillet et la dernière semaine d'août proposent également des tarifs très attractifs. Hors saison, attendre les offres de dernière minute pour bénéficier des prix cassés. En haute saison, s'y prendre à l'avance, la forte demande faisant grimper les prix.
Les États-Unis conservent un bon niveau de réservation, portés par un dollar toujours favorable et par "l'Effet Obama", qui a mis la destination sous le feu des projecteurs. La Floride en tête (une des destinations les plus branchées du moment), New York et le Grand Ouest connaissant toujours les faveurs des Français.
En revanche, certaines destinations séduisent de plus en plus de touristes : les "petits prix" du bassin méditerranéen (Tunisie, Crète, Baléares, Égypte, Portugal...), les courts séjours (avec le développement des formules 5 jours/4 nuits), le camping et les locations en France (les campings ont vu leurs réservations augmenter de 21 % par rapport à l'année dernière). Grand succès également des rubriques "promos", "bons plans" et "dernière minute" en général, pour traquer la bonne affaire plutôt qu'une destination en particulier.
Où partir pour profiter des petits prix de la crise ?
La crise est synonyme de bonnes affaires sur certaines destinations... à condition de bien savoir choisir. Car s'il existe de vraies belles promotions sur certaines destinations, il ne faut pas compter sur une grande braderie générale. Pour les voyageurs qui en ont la possibilité, les destinations long-courriers ont souvent vu leurs prix diminuer après la baisse du cours du pétrole.
Pour les moyen-courriers, direction Londres (la baisse de la livre favorise les escapades imprévues : + 17 % de réservations par rapport à l'année dernière). Autres possibilités : les Baléares (Palma de Majorque), les Canaries (Gran Tenerife...), la Turquie (séjours dans la région d'Antalya et courts séjours à Istanbul notamment) : ces destinations, qui souffrent de la désaffection des Britanniques (dont le pouvoir d'achat a été altéré par la forte dévaluation de la livre), regorgent de belles promotions sur la période printemps-été.
Du côté des long-courriers, les Seychelles et l'île Maurice ont le vent en poupe : traditionnellement tournées vers le tourisme haut de gamme, les îles de l'océan Indien, très affectées par la crise, pratiquent des prix très intéressants pour attirer une nouvelle clientèle. Sur Promovacances par exemple, des séjours de 10 jours à l'île Maurice sont proposés à partir de 849 euros en hôtel deux étoiles de charme (départs les 9, 16, 23 et 28 juin) ou à partir de 899 euros en hôtel trois étoiles (départs les 12, 19 et 31 mai, les 9, 16, 23 et 28 juin). 10 jours aux Seychelles en hôtel trois étoiles fluctuent autour de 1.000 euros TTC selon les dates (avec des promos ponctuelles sous la barre des 1.000 euros en dernière minute). À savoir : pour encourager les réservations, les Seychelles et l'île Maurice ont exceptionnellement assoupli leurs conditions d'entrée et autorisent les citoyens français à entrer sur leur territoire avec une simple carte d'identité jusqu'au 30 juin.
Le Mexique bénéficie toujours d'un effet dollar favorable (promotions à partir de 800 euros les 9 jours/7 nuits avec vols et hébergement). C'est l'une des destinations long-courriers les plus intéressantes de la saison, avec la République dominicaine (9 jours en quatre étoiles, en formule tout compris à partir de 799 euros TTC).
Les Antilles, fortement impactées par la crise sociale du début d'année, proposent de belles formules Spécial Relance (six nuits payantes = une nuit offerte). Sur Promovacances toujours, neuf jours à la Guadeloupe à partir de 599 euros en hôtel trois étoiles, avec vols inclus et petits déjeuners (départs en septembre).
La croisière 2 Dauphins dans les îles Grenadines est à partir de 799 euros TTC (avec vols A/R, la croisière en catamaran et la pension complète). Avec la formule "Cuisine active", les passagers font eux-mêmes la cuisine et la vaisselle, pour un voyage plus économique. Les célibataires ont aussi la possibilité de partir en solo sans payer de supplément : ils sont logés en cabine partagée, dans une cabine twin (à deux lits qui peuvent être superposés) partagée avec un autre passager du même sexe. Cette formule de logement évite de payer le supplément cabine individuelle et permet même parfois d'avoir une réduction sur le tarif base double.
Les petits "trucs" à savoir pour dénicher un bon plan
Penser à se connecter régulièrement sur les sites de voyagistes et à s'abonner aux newsletters et alertes , pour ne manquer aucune bonne affaire, notamment dans les rubriques "bons plans", "promos" et "dernière minute".
Partir en décalé : les mois de mai (hors pont) et juin regorgent de bonnes affaires pour les couples et les célibataires. La première semaine de juillet et la dernière semaine d'août proposent également des tarifs très attractifs. Hors saison, attendre les offres de dernière minute pour bénéficier des prix cassés. En haute saison, s'y prendre à l'avance, la forte demande faisant grimper les prix.
