En entrevue, elle confiait que le livre est destiné à ses proches et aux gens qui l’ont côtoyée personnellement et professionnellement. «C’est un peu un mea culpa pour ceux que j’aurais pu blesser, des explications qu’ils méritent sur certains de mes agissements.»
Le livre se veut, aussi, un exutoire pour les gens atteints de maladies mentales. «Un Canadien sur cinq sera touché à un moment de sa vie par un trouble mental. Je veux éliminer tous les tabous, je souhaite que les gens arrêtent de me juger. Je ne veux plus entendre crier: «Maudite folle!»
Varda est une maudite folle !
Sans pudeur, elle raconte avec beaucoup de précisions ses périodes de crise, ses peurs et les souffrances reliées à la maladie mentale.
Un véritable calvaire
Pour elle, vivre avec cette maladie est un véritable calvaire. «J’aurais préféré être atteinte d’un handicap physique grave. Ou de n’importe quelle autre maladie. Si j’étais épuisée par cette maladie, tout le monde comprendrait.»
Varda a toujours su qu’elle était différente des autres. C’est à l’âge de 14 ans qu’elle est diagnostiquée bipolaire et elle mettra plus de vingt ans à l’accepter. Elle est persuadée que sa maladie lui a permis de se démarquer en tant qu’artiste, grâce au personnage arrogant et provocateur qu’elle s’est construit.
«Je sais que ma maladie mentale m’a aidée à me réaliser en tant qu’artiste et à réussir facilement.» Le livre raconte les délires d’une animatrice excentrique, d’une mère de famille, et surtout, d’une femme victime d’une maladie imprévisible.
Avec ce livre, elle nous fait pénétrer dans son monde où les engueulades, la rage et les tentatives de suicide font partie du quotidien.
Le livre se veut, aussi, un exutoire pour les gens atteints de maladies mentales. «Un Canadien sur cinq sera touché à un moment de sa vie par un trouble mental. Je veux éliminer tous les tabous, je souhaite que les gens arrêtent de me juger. Je ne veux plus entendre crier: «Maudite folle!»
Varda est une maudite folle !
Sans pudeur, elle raconte avec beaucoup de précisions ses périodes de crise, ses peurs et les souffrances reliées à la maladie mentale.
Un véritable calvaire
Pour elle, vivre avec cette maladie est un véritable calvaire. «J’aurais préféré être atteinte d’un handicap physique grave. Ou de n’importe quelle autre maladie. Si j’étais épuisée par cette maladie, tout le monde comprendrait.»
Varda a toujours su qu’elle était différente des autres. C’est à l’âge de 14 ans qu’elle est diagnostiquée bipolaire et elle mettra plus de vingt ans à l’accepter. Elle est persuadée que sa maladie lui a permis de se démarquer en tant qu’artiste, grâce au personnage arrogant et provocateur qu’elle s’est construit.
«Je sais que ma maladie mentale m’a aidée à me réaliser en tant qu’artiste et à réussir facilement.» Le livre raconte les délires d’une animatrice excentrique, d’une mère de famille, et surtout, d’une femme victime d’une maladie imprévisible.
Avec ce livre, elle nous fait pénétrer dans son monde où les engueulades, la rage et les tentatives de suicide font partie du quotidien.