La navigatrice a terminé la course en 95 jours, 4 heures et 39 minutes, treize jours après le vainqueur Michel Desjoyeaux (Foncia) et sept jours après le deuxième Armel Le Cleac'h (Brit Air). Elle ne saura cependant si elle conserve la troisième place qu'à l'arrivée de Marc Guillemot (Safran) en raison du jeu des compensations.
Samantha Davies bénéficie en effet d'une compensation de 32 heures pour s'être déroutée vers Yann Eliès, blessé, en décembre, alors que Marc Guillemot bénéficiera de 82 heures, lui aussi pour avoir porté assistance au skippeur de Generali.
Mais Marc Guillemot, qui a perdu la quille de son bateau le 9 février, peine de plus en plus à se rapprocher des Sables-d'Olonnne. Il est directement sous la menace de l'Anglais Brian Thompson (Bahrein Team Pindar) actuellement 5e.
Davies, 34 ans, est la première femme à terminer cette édition 2008-2009 du tour du monde en monocoque à la voile en solitaire, sans escale et sans assistance. Sa compatriote Dee Caffari (Aviva) occupait vendredi soir la 6e place du classement général. Révélation de ce Vendée Globe, Davies, jolie, charmeuse et faussement candide, a illuminé la course de sa joie de vivre. "Indestructible" et "inoxydable" sont deux des adjectifs les plus souvent utilisés pour la décrire.
De l'avis unanime des professionnels de la voile, l'Anglaise a réalisé une course extraordinaire à bord d'un voilier d'ancienne génération, mis à l'eau en 2000, qui ne lui a pas permis de rivaliser avec les montures de Michel Desjoyeaux et Armel Le Cleac'h, les deux seuls skippeurs à l'avoir devancée.
Car "Roxy", mis à l'eau en 2000, n'est autre que l'ancien PRB, double vainqueur du Vendée Globe, en 2001 avec Desjoyeaux, et en 2005 avec Vincent Riou. Ce dernier contraint à l'abandon pour une avarie consécutive au sauvetage de Jean Le Cam (VM Matériaux) a obtenu d'être classé 3e ex aequo de la course. "Je suis impatiente de revoir mes amis, mon équipe et ma famille. (...) Être seule pendant trois mois, ça fait long", disait-elle vendredi.
Samantha Davies bénéficie en effet d'une compensation de 32 heures pour s'être déroutée vers Yann Eliès, blessé, en décembre, alors que Marc Guillemot bénéficiera de 82 heures, lui aussi pour avoir porté assistance au skippeur de Generali.
Mais Marc Guillemot, qui a perdu la quille de son bateau le 9 février, peine de plus en plus à se rapprocher des Sables-d'Olonnne. Il est directement sous la menace de l'Anglais Brian Thompson (Bahrein Team Pindar) actuellement 5e.
Davies, 34 ans, est la première femme à terminer cette édition 2008-2009 du tour du monde en monocoque à la voile en solitaire, sans escale et sans assistance. Sa compatriote Dee Caffari (Aviva) occupait vendredi soir la 6e place du classement général. Révélation de ce Vendée Globe, Davies, jolie, charmeuse et faussement candide, a illuminé la course de sa joie de vivre. "Indestructible" et "inoxydable" sont deux des adjectifs les plus souvent utilisés pour la décrire.
De l'avis unanime des professionnels de la voile, l'Anglaise a réalisé une course extraordinaire à bord d'un voilier d'ancienne génération, mis à l'eau en 2000, qui ne lui a pas permis de rivaliser avec les montures de Michel Desjoyeaux et Armel Le Cleac'h, les deux seuls skippeurs à l'avoir devancée.
Car "Roxy", mis à l'eau en 2000, n'est autre que l'ancien PRB, double vainqueur du Vendée Globe, en 2001 avec Desjoyeaux, et en 2005 avec Vincent Riou. Ce dernier contraint à l'abandon pour une avarie consécutive au sauvetage de Jean Le Cam (VM Matériaux) a obtenu d'être classé 3e ex aequo de la course. "Je suis impatiente de revoir mes amis, mon équipe et ma famille. (...) Être seule pendant trois mois, ça fait long", disait-elle vendredi.