"Nous étudierons la proposition israélienne de manière détaillée avant de communiquer notre réponse aux représentants égyptiens", a-t-il indiqué suite à l'initiative israélienne, également relayée par la partie égyptienne, visant à instaurer une trêve d'un an et demi.
Selon lui, l'État hébreu aurait auparavant évoqué une période de 10 à 15 ans. Le Hamas prône quand à lui une trêve d'un an, un cessez-le-feu trop long étant susceptible d'affaiblir les capacités de combat des mouvements palestiniens et "d'anéantir la résistance armée à l'occupation israélienne".
Concernant la reconstruction dans la bande de Gaza, M. Taha a noté que le Hamas "était disposé à faire preuve de flexibilité, mais ne tolérerait ni politisation, ni chantage".
Certains pays, UE en tête, s'étaient auparavant dits prêts à acheminer l'aide humanitaire à l'enclave par l'intermédiaire de l'Autorité palestinienne à Ramallah, refusant de la livrer directement au Hamas qui contrôle l'enclave.
La présence d'observateurs internationaux sur le point de passage de Rafah a été également au menu des négociations indirectes, l'échange du soldat israélien Gilad Shalit contre des prisonniers palestiniens n'ayant cependant pas été évoqué.
"Nous ne souhaitons pas lier la question de sa libération avec le problème de la trêve et de la levée du blocus", a conclu le porte-parole du Hamas.
Selon lui, l'État hébreu aurait auparavant évoqué une période de 10 à 15 ans. Le Hamas prône quand à lui une trêve d'un an, un cessez-le-feu trop long étant susceptible d'affaiblir les capacités de combat des mouvements palestiniens et "d'anéantir la résistance armée à l'occupation israélienne".
Concernant la reconstruction dans la bande de Gaza, M. Taha a noté que le Hamas "était disposé à faire preuve de flexibilité, mais ne tolérerait ni politisation, ni chantage".
Certains pays, UE en tête, s'étaient auparavant dits prêts à acheminer l'aide humanitaire à l'enclave par l'intermédiaire de l'Autorité palestinienne à Ramallah, refusant de la livrer directement au Hamas qui contrôle l'enclave.
La présence d'observateurs internationaux sur le point de passage de Rafah a été également au menu des négociations indirectes, l'échange du soldat israélien Gilad Shalit contre des prisonniers palestiniens n'ayant cependant pas été évoqué.
"Nous ne souhaitons pas lier la question de sa libération avec le problème de la trêve et de la levée du blocus", a conclu le porte-parole du Hamas.