
Steve Jobs
"Flash a été créé à l'ère des ordinateurs - pour les ordinateurs et les souris (..), mais à l'ère du portable il faut des appareils consommant peu de batterie, des interfaces tactiles et des standards ouvert, et Flash est déficient dans tous ces domaines", accuse Jobs.
Alors que la question taraude des internautes incapable de visionner sur leur iPhone, leur iPod Touch ou leur iPad des vidéos exigeant le programme Flash Player (75% de l'offre de vidéos sur internet, selon Adobe), Jobs assure que Flash, qui est développé pour plusieurs systèmes d'exploitation, impose "le plus petit dénominateur commun" aux développeurs.
Selon lui, "le but d'Adobe, ce n'est pas d'aider les développeurs à créer les meilleures applications pour l'iPhone, l'iPod et l'iPad" et Adobe "a été désespérément lent à adopter les améliorations apportées aux systèmes Apple".
Le patron d'Apple accuse aussi le système Flash d'être "fermé", ce qui est paradoxalement un reproche surtout fait à Apple. Il lui reproche aussi d'entraîner des pannes à répétition, d'être gourmand en batterie et d'être mal adapté à la technologie des écrans tactiles.
"L'avalanche de médias qui proposent leurs programmes sur les appareils Apple révèle que Flash n'est plus nécessaire pour regarder des vidéos", conclut-il.
Le directeur général d'Adobe, Shantanu Narayen, lui a répliqué dans un entretien au Wall Street Journal, assurant que les accusations portées par M. Jobs n'étaient qu'un "écran de fumée". Selon Narayen les pannes de Mac imputées à ses programmes étaient plutô t liées au système d'exploitation d'Apple.
Cela fait plusieurs mois que sourd une hostilité croissante entre Adobe et Apple, mais c'est la première fois que la querelle éclate au grand jour entre les patrons des deux entreprises.
Alors que la question taraude des internautes incapable de visionner sur leur iPhone, leur iPod Touch ou leur iPad des vidéos exigeant le programme Flash Player (75% de l'offre de vidéos sur internet, selon Adobe), Jobs assure que Flash, qui est développé pour plusieurs systèmes d'exploitation, impose "le plus petit dénominateur commun" aux développeurs.
Selon lui, "le but d'Adobe, ce n'est pas d'aider les développeurs à créer les meilleures applications pour l'iPhone, l'iPod et l'iPad" et Adobe "a été désespérément lent à adopter les améliorations apportées aux systèmes Apple".
Le patron d'Apple accuse aussi le système Flash d'être "fermé", ce qui est paradoxalement un reproche surtout fait à Apple. Il lui reproche aussi d'entraîner des pannes à répétition, d'être gourmand en batterie et d'être mal adapté à la technologie des écrans tactiles.
"L'avalanche de médias qui proposent leurs programmes sur les appareils Apple révèle que Flash n'est plus nécessaire pour regarder des vidéos", conclut-il.
Le directeur général d'Adobe, Shantanu Narayen, lui a répliqué dans un entretien au Wall Street Journal, assurant que les accusations portées par M. Jobs n'étaient qu'un "écran de fumée". Selon Narayen les pannes de Mac imputées à ses programmes étaient plutô t liées au système d'exploitation d'Apple.
Cela fait plusieurs mois que sourd une hostilité croissante entre Adobe et Apple, mais c'est la première fois que la querelle éclate au grand jour entre les patrons des deux entreprises.