
"Il n'y a pas eu d'élèves, et les quelques uns qui se sont présentés sont rentrés chez eux, les cours n'étant pas assurés", a indiqué à l'AFP une source proche de la direction.
Enseignants et parents d'élèves demandent la délocalisation d'un établissement de réinsertion scolaire (ERS) de 14 élèves de Seine-Saint-Denis qui a ouvert lundi au sein même du collège Volney (350 élèves).
Mardi, des collégiens locaux avaient été molestés par les nouveaux venus, qu'ils n'étaient pas censés croiser et dont cinq ont été immédiatement renvoyés dans leur département d'origine.
L'inspectrice d'académie Solange Deloustal était sur place au collège de Craon dans la matinée pour étudier les suites à donner au dossier.
Les enseignants étaient de leur côté en réunion de concertation pour savoir s'ils levaient ou non le droit de retrait exercé depuis mardi.
"Personne n'envisage de reprendre les cours pour le moment, mais on étudie une façon d'assurer quand même une continuité pédagogique, peut-être par internet", a indiqué une porte-parole, Zélia Malhaire, du Sgen-CFDT.
Enseignants et parents d'élèves demandent la délocalisation d'un établissement de réinsertion scolaire (ERS) de 14 élèves de Seine-Saint-Denis qui a ouvert lundi au sein même du collège Volney (350 élèves).
Mardi, des collégiens locaux avaient été molestés par les nouveaux venus, qu'ils n'étaient pas censés croiser et dont cinq ont été immédiatement renvoyés dans leur département d'origine.
L'inspectrice d'académie Solange Deloustal était sur place au collège de Craon dans la matinée pour étudier les suites à donner au dossier.
Les enseignants étaient de leur côté en réunion de concertation pour savoir s'ils levaient ou non le droit de retrait exercé depuis mardi.
"Personne n'envisage de reprendre les cours pour le moment, mais on étudie une façon d'assurer quand même une continuité pédagogique, peut-être par internet", a indiqué une porte-parole, Zélia Malhaire, du Sgen-CFDT.