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Le Vatican réclame la reconnaissance pleine et entière des droits juridiques et patrimoniaux des congrégations catholiques et la confirmation des exemptions fiscales que l’Eglise possédait déjà au moment de la naissance de l’Etat d’Israël et que les Nations unies avaient demandé à l’Etat hébreu d’honorer.
Signé le 30 décembre 1993, l'accord fondamental qui a consacré le rapprochement historique entre Israël et le Vatican avait confié à une commission mixte le soin de résoudre les problèmes économiques et de propriété de l'Eglise catholique, notamment dans les territoires occupés par l'État juif depuis 1967.
Cette commission n'a jamais pu aboutir à une solution et a cessé parfois de se réunir pendant plus de dix ans.
Le Vatican a dénoncé régulièrement la politique d'annexion rampante mise en œuvre par la municipalité juive à Jérusalem-est et les pressions exercées sur certaines congrégations pour qu'elles cèdent leurs nombreuses, et parfois importantes, propriétés dans la Ville Sainte.
L'un des conflits emblématiques entre les deux États est celui de l'Hospice des Filles de la charité de Saint-Vincent-de-Paul à Jérusalem qui sert la population palestinienne et dont la propriété est revendiquée de part et d'autre devant les tribunaux israéliens depuis 1974.
Reprises en 2004, les négociations ont connu des hauts et des bas. Elles se sont accélérées en avril de cette année avec deux réunions qui se sont tenues dans "un climat de grande cordialité et dans un esprit de coopération", selon un communiqué commun.
La dernière réunion le 30 avril à Jérusalem a permis d'enregistrer des "progrès significatifs".
Les négociateurs ont prévu de poursuivre leurs efforts de coopération et de se retrouver le 10 décembre au Vatican, ce qui signifie qu'aucun accord ne devrait être conclu lors de la visite de Benoît XVI en Israël du 11 au 15 mai.
Signé le 30 décembre 1993, l'accord fondamental qui a consacré le rapprochement historique entre Israël et le Vatican avait confié à une commission mixte le soin de résoudre les problèmes économiques et de propriété de l'Eglise catholique, notamment dans les territoires occupés par l'État juif depuis 1967.
Cette commission n'a jamais pu aboutir à une solution et a cessé parfois de se réunir pendant plus de dix ans.
Le Vatican a dénoncé régulièrement la politique d'annexion rampante mise en œuvre par la municipalité juive à Jérusalem-est et les pressions exercées sur certaines congrégations pour qu'elles cèdent leurs nombreuses, et parfois importantes, propriétés dans la Ville Sainte.
L'un des conflits emblématiques entre les deux États est celui de l'Hospice des Filles de la charité de Saint-Vincent-de-Paul à Jérusalem qui sert la population palestinienne et dont la propriété est revendiquée de part et d'autre devant les tribunaux israéliens depuis 1974.
Reprises en 2004, les négociations ont connu des hauts et des bas. Elles se sont accélérées en avril de cette année avec deux réunions qui se sont tenues dans "un climat de grande cordialité et dans un esprit de coopération", selon un communiqué commun.
La dernière réunion le 30 avril à Jérusalem a permis d'enregistrer des "progrès significatifs".
Les négociateurs ont prévu de poursuivre leurs efforts de coopération et de se retrouver le 10 décembre au Vatican, ce qui signifie qu'aucun accord ne devrait être conclu lors de la visite de Benoît XVI en Israël du 11 au 15 mai.
