L'Atlantique 2, un appareil de patrouille maritime, focalise ses recherches sur une zone où un pilote brésilien a signalé dans la nuit avoir aperçu des lueurs orangées sur l'eau, a indiqué le capitaine de vaisseau Christophe Prazuck, de l'état-major.
"Nous avons reçu ces informations vers 04H30 (dans la nuit de lundi à mardi) d'un pilote brésilien disant qu'il avait repéré des lueurs à la surface de l'eau, à une position cohérente avec la dernière position connue de l'A330", a déclaré le commandant Prazuck.
Ces informations, a-t-il cependant souligné, n'ont été confirmées ni par les autorités brésiliennes ni par les autorités françaises.
Quant au Falcon 50, il doit patrouiller "plus près des côtes brésiliennes et ira ensuite se poser au Brésil", a-t-il précisé.
Les deux appareils avaient décollé lundi de Lorient (ouest de la France) et ont fait escale à Dakar dans la nuit avant de se diriger vers leurs zones de recherches respectives au-dessus de l'Atlantique.
Un premier Atlantique 2, basé quant à lui à Dakar, avait décollé dès la mi-journée lundi de la capitale sénégalaise.
"Il a effectué un vol de 12 heures, reprenant la route inverse de celle que devait emprunter le long courrier d'Air France depuis les îles du Cap Vert jusqu'à la dernière position connue, méthode de recherche classique", a précisé le commandant Prazuck.
Selon lui, l'appareil "n'a rien trouvé mais la météo était exécrable avec ce que l'on appelle un front intertropical de convergence", zone de basses pressions et fortes précipitations à la rencontre de masses d'air chaud tropicales.
Deux bâtiments de la Marine nationale, le "transport de chalands de débarquement" La Foudre qui menait un exercice non loin du Portugal et la frégate Ventôse, venue des Antilles, font quant à eux route vers la zone probable de la disparition du vol AF447.
Ils devraient arriver "sur zone" d'ici à la fin de la semaine, selon le commandant Prazuck.
"Nous avons reçu ces informations vers 04H30 (dans la nuit de lundi à mardi) d'un pilote brésilien disant qu'il avait repéré des lueurs à la surface de l'eau, à une position cohérente avec la dernière position connue de l'A330", a déclaré le commandant Prazuck.
Ces informations, a-t-il cependant souligné, n'ont été confirmées ni par les autorités brésiliennes ni par les autorités françaises.
Quant au Falcon 50, il doit patrouiller "plus près des côtes brésiliennes et ira ensuite se poser au Brésil", a-t-il précisé.
Les deux appareils avaient décollé lundi de Lorient (ouest de la France) et ont fait escale à Dakar dans la nuit avant de se diriger vers leurs zones de recherches respectives au-dessus de l'Atlantique.
Un premier Atlantique 2, basé quant à lui à Dakar, avait décollé dès la mi-journée lundi de la capitale sénégalaise.
"Il a effectué un vol de 12 heures, reprenant la route inverse de celle que devait emprunter le long courrier d'Air France depuis les îles du Cap Vert jusqu'à la dernière position connue, méthode de recherche classique", a précisé le commandant Prazuck.
Selon lui, l'appareil "n'a rien trouvé mais la météo était exécrable avec ce que l'on appelle un front intertropical de convergence", zone de basses pressions et fortes précipitations à la rencontre de masses d'air chaud tropicales.
Deux bâtiments de la Marine nationale, le "transport de chalands de débarquement" La Foudre qui menait un exercice non loin du Portugal et la frégate Ventôse, venue des Antilles, font quant à eux route vers la zone probable de la disparition du vol AF447.
Ils devraient arriver "sur zone" d'ici à la fin de la semaine, selon le commandant Prazuck.