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Pierre-Henri Gourgeon
"On va être dans la phase actuelle beaucoup concentrés sur la première avance qui est versée pour chaque victime - environ 17.500 euros", a-t-il déclaré sur RTL. "Cette avance ne demande aucun engagement bien sûr, et les avocats de nos assureurs dans chaque pays sont en train de parler aux familles des victimes pour arriver à mettre en place cette avance".
Le directeur général d'Air France-KLM a réagi aux critiques sur le manque d'informations aux familles, en assurant que "nous sommes totalement mobilisés, toute la compagnie, qui est très meurtrie par cet accident, est mobilisée". "Nous avons dès le début mis en place tous les moyens pour être en contact avec les familles des victimes. Ce n'est pas facile (...) nous avons souvent seulement un portable", qui était "malheureusement dans l'avion".
Mais "nous avons aujourd'hui une liste de proches avec qui nous sommes en contact régulièrement, elle est supérieure à 1.800 personnes. Ils disposent chacun de numéros de téléphones où ils peuvent contacter des personnels d'Air France", a-t-il précisé. "Dans chaque pays, nous avons un représentant" pour les "32 nationalités différentes" concernées. Et de noter qu'"il n'y a pas de limite aux moyens que nous mettons en place".
"Nous sommes en train d'étudier et de contacter les familles" pour savoir "dans quelles conditions nous pouvons organiser un hommage solennel et à quel endroit", a indiqué Pierre-Henri Gourgeon. "Nous allons essayer de le définir dans les jours qui viennent".
Quant à l'enquête, Pierre-Henri Gourgeon a souligné que "tout espoir n'est pas perdu" de retrouver l'épave de l'avion et que l'objectif essentiel et d'"atteindre ces fameuses boîtes noires" de l'appareil. D'autre part, "il y a une difficulté en train d'être résolue d'échanges d'informations entre les représentants du Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) et les médecins légistes brésiliens" sur les conclusions des autopsies des corps repêchés.
Le directeur général d'Air France-KLM a réagi aux critiques sur le manque d'informations aux familles, en assurant que "nous sommes totalement mobilisés, toute la compagnie, qui est très meurtrie par cet accident, est mobilisée". "Nous avons dès le début mis en place tous les moyens pour être en contact avec les familles des victimes. Ce n'est pas facile (...) nous avons souvent seulement un portable", qui était "malheureusement dans l'avion".
Mais "nous avons aujourd'hui une liste de proches avec qui nous sommes en contact régulièrement, elle est supérieure à 1.800 personnes. Ils disposent chacun de numéros de téléphones où ils peuvent contacter des personnels d'Air France", a-t-il précisé. "Dans chaque pays, nous avons un représentant" pour les "32 nationalités différentes" concernées. Et de noter qu'"il n'y a pas de limite aux moyens que nous mettons en place".
"Nous sommes en train d'étudier et de contacter les familles" pour savoir "dans quelles conditions nous pouvons organiser un hommage solennel et à quel endroit", a indiqué Pierre-Henri Gourgeon. "Nous allons essayer de le définir dans les jours qui viennent".
Quant à l'enquête, Pierre-Henri Gourgeon a souligné que "tout espoir n'est pas perdu" de retrouver l'épave de l'avion et que l'objectif essentiel et d'"atteindre ces fameuses boîtes noires" de l'appareil. D'autre part, "il y a une difficulté en train d'être résolue d'échanges d'informations entre les représentants du Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) et les médecins légistes brésiliens" sur les conclusions des autopsies des corps repêchés.
