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Selon les chiffres définitifs de clô ture, le Dow Jones Industrial Average a cédé 126,82 points à 10.066,57 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 15,49 points à 2.213,55 points.
L'indice élargi Standard & Poor's 500 a quant à lui abandonné 1,29% (14,04 points) à 1.073,65 points.
La tendance est restée hésitante une grande partie de la séance, les indices ne piquant du nez que pendant la dernière heure d'échanges.
"On a toujours les mêmes inquiétudes, mais cela ressemble à une journée de repos, où on reprend son souffle", a constaté Scott Marcouiller, de Wells Fargo Advisors.
"Les investisseurs font un pas en arrière, le volume d'échanges est faible", a-t-il ajouté. "Les gens restent en état de choc, ce qui est compréhensible: le Dow a perdu 1.000 points en quelques séances, cela suffit à secouer n'importe qui".
Sur la seule semaine dernière, l'indice phare de la place new-yorkaise a chuté de 4%, limitant son plongeon grâce à un net rebond vendredi (+1,25%).
"Le marché se montre incapable de poursuivre sur sa lancée de vendredi", a observé Craig Peckham, de la maison de courtage Jefferies. "C'est toujours la même histoire: la crise de la dette en Europe pénalise les actifs risqués".
Les inquiétudes des investisseurs se sont concentrées sur l'Espagne, où la banque centrale a dû procéder au sauvetage samedi de Cajasur, une caisse d'épargne du Sud du pays que contrô lait jusqu'à présent l'Eglise catholique.
"La crainte d'un effet domino ressurgit", a estimé John Wilson, de Morgan Keegan. "Malheureusement, il semble qu'il soit trop tô t pour fêter" la fin de la crise.
Sur le front des indicateurs aux Etats-Unis, les ventes de logements anciens ont progressé plus que prévu en avril (+7,6% par rapport à mars), dopées par les derniers effets du crédit d'impô t accordé aux acheteurs d'un logement.
Le marché obligataire s'est un peu replié. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans est remonté à 3,227% contre 3,200% vendredi soir et celui du bon à 30 ans à 4,104% contre 4,065%.
L'indice élargi Standard & Poor's 500 a quant à lui abandonné 1,29% (14,04 points) à 1.073,65 points.
La tendance est restée hésitante une grande partie de la séance, les indices ne piquant du nez que pendant la dernière heure d'échanges.
"On a toujours les mêmes inquiétudes, mais cela ressemble à une journée de repos, où on reprend son souffle", a constaté Scott Marcouiller, de Wells Fargo Advisors.
"Les investisseurs font un pas en arrière, le volume d'échanges est faible", a-t-il ajouté. "Les gens restent en état de choc, ce qui est compréhensible: le Dow a perdu 1.000 points en quelques séances, cela suffit à secouer n'importe qui".
Sur la seule semaine dernière, l'indice phare de la place new-yorkaise a chuté de 4%, limitant son plongeon grâce à un net rebond vendredi (+1,25%).
"Le marché se montre incapable de poursuivre sur sa lancée de vendredi", a observé Craig Peckham, de la maison de courtage Jefferies. "C'est toujours la même histoire: la crise de la dette en Europe pénalise les actifs risqués".
Les inquiétudes des investisseurs se sont concentrées sur l'Espagne, où la banque centrale a dû procéder au sauvetage samedi de Cajasur, une caisse d'épargne du Sud du pays que contrô lait jusqu'à présent l'Eglise catholique.
"La crainte d'un effet domino ressurgit", a estimé John Wilson, de Morgan Keegan. "Malheureusement, il semble qu'il soit trop tô t pour fêter" la fin de la crise.
Sur le front des indicateurs aux Etats-Unis, les ventes de logements anciens ont progressé plus que prévu en avril (+7,6% par rapport à mars), dopées par les derniers effets du crédit d'impô t accordé aux acheteurs d'un logement.
Le marché obligataire s'est un peu replié. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans est remonté à 3,227% contre 3,200% vendredi soir et celui du bon à 30 ans à 4,104% contre 4,065%.
