Le président américain Donald Trump a signé en mai dernier un décret qui interdit aux entreprises américaines d’utiliser du matériel de télécommunications fabriqué par des entreprises présentant un risque pour la sécurité nationale, une mesure visant particulièrement Huawei.
L’administration américaine est cependant revenue quelques jours plus tard sur une partie des restrictions imposées à Huawei, l’autorisant à se procurer auprès d’entreprises américaines le matériel indispensable pour continuer à servir ses clients.
Il demeure toujours interdit au groupe télécoms chinois d’acheter des produits comportant au moins 25% de composants issus d’une technologie ou de matériaux américains. Les Etats-Unis estiment que la Chine pourrait se servir de Huawei à des fins d’espionnage, des accusations que Pékin rejette.
D’après les sources, l’autorisation temporaire de Huawei, qui doit prendre fin le 19 août, va être prolongée de 90 jours - un délai identique à celui qui avait été accordé en mai dernier à la firme chinoise par le département du Commerce.
Cette question, centrale dans le conflit commercial entre Washington et Pékin, reste toutefois en cours de discussion et la décision pourrait évoluer d’ici à lundi, ont dit les sources.
Selon l’une d’entre elles, Donald Trump a prévu de s’entretenir par téléphone de la question de Huawei avec son homologue chinois Xi Jinping au cours du week-end.
Le département américain du Commerce s’est refusé à tout commentaire vendredi soir, renvoyant aux propos de Wilbur Ross lors d’un entretien cette semaine à la chaîne de télévision CNBC. “Je serai ravi de vous tenir informés lundi”, avait dit le secrétaire au Trésor.
Vendredi, l’Office du représentant américain au Commerce (USTR) a annoncé le report des droits de douane sur certains produits d’ameublement de maison et les modems internet fabriqués en Chine, quelques jours après avoir repoussé à décembre l’instauration de taxes sur les téléphones mobiles et ordinateurs portables importés.
L’administration américaine est cependant revenue quelques jours plus tard sur une partie des restrictions imposées à Huawei, l’autorisant à se procurer auprès d’entreprises américaines le matériel indispensable pour continuer à servir ses clients.
Il demeure toujours interdit au groupe télécoms chinois d’acheter des produits comportant au moins 25% de composants issus d’une technologie ou de matériaux américains. Les Etats-Unis estiment que la Chine pourrait se servir de Huawei à des fins d’espionnage, des accusations que Pékin rejette.
D’après les sources, l’autorisation temporaire de Huawei, qui doit prendre fin le 19 août, va être prolongée de 90 jours - un délai identique à celui qui avait été accordé en mai dernier à la firme chinoise par le département du Commerce.
Cette question, centrale dans le conflit commercial entre Washington et Pékin, reste toutefois en cours de discussion et la décision pourrait évoluer d’ici à lundi, ont dit les sources.
Selon l’une d’entre elles, Donald Trump a prévu de s’entretenir par téléphone de la question de Huawei avec son homologue chinois Xi Jinping au cours du week-end.
Le département américain du Commerce s’est refusé à tout commentaire vendredi soir, renvoyant aux propos de Wilbur Ross lors d’un entretien cette semaine à la chaîne de télévision CNBC. “Je serai ravi de vous tenir informés lundi”, avait dit le secrétaire au Trésor.
Vendredi, l’Office du représentant américain au Commerce (USTR) a annoncé le report des droits de douane sur certains produits d’ameublement de maison et les modems internet fabriqués en Chine, quelques jours après avoir repoussé à décembre l’instauration de taxes sur les téléphones mobiles et ordinateurs portables importés.