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Selon Panda Security, le site du procureur aklagare.se a été rendu inaccessible par des pirates regroupés au sein d'un groupe baptisé "Anonymes".
Des tentatives effectuées par l'AFP pour se connecter au site vers 18H00 (23H00 GMT) se sont révélées infructeuses.
L'attaque informatique visant le site du procureur suédois intervient après que Julian Assange, lui-même ancien pirate informatique, a été placé en détention mardi à Londres dans le cadre d'une affaire de viol et violence sexuelle en Suède, pays qui réclame son extradition.
Selon Panda Security, le groupe "Anonymes" a attaqué le site du procureur suédois ainsi que celui du service de paiement en ligne PayPal et de la banque postale suisse.
PayPal avait bloqué les transactions financières de WikiLeaks la semaine dernière, tandis que Postfinance, la filiale bancaire de la Poste suisse, a annoncé lundi avoir fermé le compte du fondateur de Julian Assange, en raison de "fausses indications sur son lieu de domicile".
Le site de WikiLeaks est lui-même la cible de cyberattaques depuis qu'il a commencé à mettre en ligne quelque 250.000 câbles diplomatiques américains le 28 novembre.
Des tentatives effectuées par l'AFP pour se connecter au site vers 18H00 (23H00 GMT) se sont révélées infructeuses.
L'attaque informatique visant le site du procureur suédois intervient après que Julian Assange, lui-même ancien pirate informatique, a été placé en détention mardi à Londres dans le cadre d'une affaire de viol et violence sexuelle en Suède, pays qui réclame son extradition.
Selon Panda Security, le groupe "Anonymes" a attaqué le site du procureur suédois ainsi que celui du service de paiement en ligne PayPal et de la banque postale suisse.
PayPal avait bloqué les transactions financières de WikiLeaks la semaine dernière, tandis que Postfinance, la filiale bancaire de la Poste suisse, a annoncé lundi avoir fermé le compte du fondateur de Julian Assange, en raison de "fausses indications sur son lieu de domicile".
Le site de WikiLeaks est lui-même la cible de cyberattaques depuis qu'il a commencé à mettre en ligne quelque 250.000 câbles diplomatiques américains le 28 novembre.
