"La prochaine publication a sept fois la taille des documents sur la guerre en Irak", indique le site spécialisé dans la révélation de documents confidentiels, sur son compte Twitter.
"Pression intense là-dessus depuis plusieurs mois. Aidez-nous à rester forts", écrit WikiLeaks dans un style télégraphique, en ajoutant un lien vers une page pour lui verser des fonds.
L'annonce intervient au moment où le cofondateur et rédacteur en chef de WikiLeaks, l'Australien Julian Assange, fait l'objet d'un mandat d'arrêt international lancé par la Suède dans le cadre d'une enquête pour viol et agression sexuelle.
Après avoir publié en juillet 77.000 documents militaires américains classés sur la guerre en Afghanistan, WikiLeaks a récidivé sur la guerre en Irak le mois dernier, en publiant quelque 400.000 rapports d'incidents, écrits de 2004 à 2009 par des soldats américains, portant notamment sur des faits de torture.
WikiLeaks, devenu depuis quelques mois la bête noire du Pentagone, n'a pas révélé à qui il doit les fuites massives de documents de l'armée américaine.
Mais les soupçons se portent sur Bradley Manning, un spécialiste du renseignement au sein de l'armée américaine, arrêté en mai après que WikiLeaks eut diffusé une vidéo montrant le raid aérien d'un hélicoptère américain à Bagdad en 2007, au cours duquel des civils ont été tués.
Manning, qui est actuellement incarcéré près de Washington, risque une très lourde peine de prison s'il est reconnu coupable.
Julian Assange avait également promis cet été à Stockholm la publication de 15.000 documents militaires supplémentaires sur la guerre en Afghanistan expurgés de certains renseignements personnels.
"Pression intense là-dessus depuis plusieurs mois. Aidez-nous à rester forts", écrit WikiLeaks dans un style télégraphique, en ajoutant un lien vers une page pour lui verser des fonds.
L'annonce intervient au moment où le cofondateur et rédacteur en chef de WikiLeaks, l'Australien Julian Assange, fait l'objet d'un mandat d'arrêt international lancé par la Suède dans le cadre d'une enquête pour viol et agression sexuelle.
Après avoir publié en juillet 77.000 documents militaires américains classés sur la guerre en Afghanistan, WikiLeaks a récidivé sur la guerre en Irak le mois dernier, en publiant quelque 400.000 rapports d'incidents, écrits de 2004 à 2009 par des soldats américains, portant notamment sur des faits de torture.
WikiLeaks, devenu depuis quelques mois la bête noire du Pentagone, n'a pas révélé à qui il doit les fuites massives de documents de l'armée américaine.
Mais les soupçons se portent sur Bradley Manning, un spécialiste du renseignement au sein de l'armée américaine, arrêté en mai après que WikiLeaks eut diffusé une vidéo montrant le raid aérien d'un hélicoptère américain à Bagdad en 2007, au cours duquel des civils ont été tués.
Manning, qui est actuellement incarcéré près de Washington, risque une très lourde peine de prison s'il est reconnu coupable.
Julian Assange avait également promis cet été à Stockholm la publication de 15.000 documents militaires supplémentaires sur la guerre en Afghanistan expurgés de certains renseignements personnels.