"Le tournage devrait très probablement avoir lieu à Paris à l'automne 2010", a indiqué à l'AFP l'entourage de la ministre de la Culture Christine Albanel.
Un peu plus tôt, Mme Albanel avait elle-même annoncé la nouvelle au cours d'un déjeuner offert à des artistes et des jeunes à l'occasion du cinquantenaire du ministère de la Culture, selon cette source.
Woody Allen, 73 ans, avait affirmé, pendant une rencontre avec Mme Albanel à Paris en décembre, avoir bon espoir de pouvoir tourner son prochain film, une comédie, à Paris, après avoir dû renoncer à le faire il y a quelques années pour des raisons financières.
"J'ai un scénario tout près pour Paris, je voulais le faire il y a quelques années mais quand nous avons commencé à mettre le film en place, c'est devenu un projet si coûteux que je n'ai pas pu le faire", avait-il expliqué.
"Maintenant il y a une nouvelle incitation fiscale à Paris, alors nous revenons et nous essayons de voir s'il est possible de refaire" ce film.
Le réalisateur new-yorkais faisait allusion à un amendement voté par le Parlement et destiné à rendre Paris plus attrayant pour les productions cinématographiques étrangères, grâce à un système de crédit d'impôt international autorisant un abattement fiscal plafonné à 4 millions d'euros.
Un peu plus tôt, Mme Albanel avait elle-même annoncé la nouvelle au cours d'un déjeuner offert à des artistes et des jeunes à l'occasion du cinquantenaire du ministère de la Culture, selon cette source.
Woody Allen, 73 ans, avait affirmé, pendant une rencontre avec Mme Albanel à Paris en décembre, avoir bon espoir de pouvoir tourner son prochain film, une comédie, à Paris, après avoir dû renoncer à le faire il y a quelques années pour des raisons financières.
"J'ai un scénario tout près pour Paris, je voulais le faire il y a quelques années mais quand nous avons commencé à mettre le film en place, c'est devenu un projet si coûteux que je n'ai pas pu le faire", avait-il expliqué.
"Maintenant il y a une nouvelle incitation fiscale à Paris, alors nous revenons et nous essayons de voir s'il est possible de refaire" ce film.
Le réalisateur new-yorkais faisait allusion à un amendement voté par le Parlement et destiné à rendre Paris plus attrayant pour les productions cinématographiques étrangères, grâce à un système de crédit d'impôt international autorisant un abattement fiscal plafonné à 4 millions d'euros.