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Selon le quotidien "New York Times", l'entreprise a mis en application le nouveau système qui supprime automatiquement les contenus qui violent les règles.
Plusieurs chaînes de vidéos et des vidéos personnelles ont ainsi été supprimées.
Certains utilisateurs ont averti l'administration du site, et ont fait en sorte que leur vidéos soient de nouveau mises en ligne.
Membre du Conseil d'administration du groupe de consultation technologique à la Cour pénale internationale, récoltant des preuves des violations des droits de l'Homme, le vice-président de Benetech, Keith Hiatt a noté qu'au moins 200 organisations de la Société civile et plusieurs personnes travaillent et même meurent pour prouver et documenter ces violations.
Hiatt a affirmé que Benetech perdra sa plus grande source d'informations avec la suppression des vidéos qui témoignent des atrocités en Syrie.
Plusieurs chaînes de vidéos et des vidéos personnelles ont ainsi été supprimées.
Certains utilisateurs ont averti l'administration du site, et ont fait en sorte que leur vidéos soient de nouveau mises en ligne.
Membre du Conseil d'administration du groupe de consultation technologique à la Cour pénale internationale, récoltant des preuves des violations des droits de l'Homme, le vice-président de Benetech, Keith Hiatt a noté qu'au moins 200 organisations de la Société civile et plusieurs personnes travaillent et même meurent pour prouver et documenter ces violations.
Hiatt a affirmé que Benetech perdra sa plus grande source d'informations avec la suppression des vidéos qui témoignent des atrocités en Syrie.
