Premiers concernés: l'Espagne, l'Allemagne, la France, l'Italie, le Portugal et le Royaume-Uni. En 2011 viendra le tour des Etats-Unis, du Japon et de la Corée du Sud.
Ce lancement survient en plein coup d'accélérateur des géants de la mode en direction de l'internet. Le numéro deux mondial, l'américain Gap, a étendu le 12 août les livraisons de sa boutique en ligne à 55 pays, en plus des Etats-Unis, en promettant 65 fin 2010.
Le suédois H&M, troisième mondial, qui vend sur l'internet depuis 1998 dans sept pays dont l'Allemagne, attaquera le 16 septembre un autre marché majeur, le Royaume-Uni.
Zara, dernier arrivé sur la toile? Etonnant pour une enseigne qui a fait de la rapidité sa marque de fabrique, avec des rayons renouvelés toutes les deux semaines.
Mais peut-être était-il urgent d'attendre, la mode commençant tout juste à séduire les internautes.
Les ventes de vêtements ne représentaient en 2009 que 2,5% du chiffre d'affaires du commerce électronique en Espagne et 5,6% en France, selon les professionnels de ces pays.
L'autre marque espagnole à petits prix, Mango, en ligne depuis 2000, ne tirait en 2009 qu'1% de ses revenus de ce canal.
Gap s'en sort mieux, ayant engrangé l'an dernier 1,1 milliard de dollars sur l'internet, soit 7,7% de ses ventes, dans un marché américain plus précoce.
Si Mango prévoit de multiplier par sept sa part de revenus internet d'ici 3 ans, c'est que la tendance s'accélère.
Un récent sondage de l'institut Nielsen dans 55 pays montrait que les vêtements sont désormais le deuxième type de produits que les internautes souhaitent acheter, après les livres mais devant les billets d'avion.
Ce lancement survient en plein coup d'accélérateur des géants de la mode en direction de l'internet. Le numéro deux mondial, l'américain Gap, a étendu le 12 août les livraisons de sa boutique en ligne à 55 pays, en plus des Etats-Unis, en promettant 65 fin 2010.
Le suédois H&M, troisième mondial, qui vend sur l'internet depuis 1998 dans sept pays dont l'Allemagne, attaquera le 16 septembre un autre marché majeur, le Royaume-Uni.
Zara, dernier arrivé sur la toile? Etonnant pour une enseigne qui a fait de la rapidité sa marque de fabrique, avec des rayons renouvelés toutes les deux semaines.
Mais peut-être était-il urgent d'attendre, la mode commençant tout juste à séduire les internautes.
Les ventes de vêtements ne représentaient en 2009 que 2,5% du chiffre d'affaires du commerce électronique en Espagne et 5,6% en France, selon les professionnels de ces pays.
L'autre marque espagnole à petits prix, Mango, en ligne depuis 2000, ne tirait en 2009 qu'1% de ses revenus de ce canal.
Gap s'en sort mieux, ayant engrangé l'an dernier 1,1 milliard de dollars sur l'internet, soit 7,7% de ses ventes, dans un marché américain plus précoce.
Si Mango prévoit de multiplier par sept sa part de revenus internet d'ici 3 ans, c'est que la tendance s'accélère.
Un récent sondage de l'institut Nielsen dans 55 pays montrait que les vêtements sont désormais le deuxième type de produits que les internautes souhaitent acheter, après les livres mais devant les billets d'avion.