Accueil
Actus
L’euro, déjà en hausse à la faveur de l’accord trouvé par les dirigeants européens sur les questions migratoires, a légèrement accru sa progression après la publication des chiffres d’Eurostat.
La hausse de 2,0% des prix à la consommation en juin est conforme aux attentes des économistes. Hors pétrole et produits alimentaires frais, l’inflation ressort à 1,2% alors que le consensus était de 1,3%, comme en mai.
Si l’on exclut également les prix de l’alcool et du tabac, la hausse des prix revient à 1,0%, évolution en ligne avec les attentes, contre 1,1% en mai.
Les prix de l’énergie ont bondi de 8,0% d’une année sur l’autre en juin et ceux des produits alimentaires frais de 3,0%.
Malgré un taux de croissance au plus haut depuis dix ans dans la zone euro, la BCE a du mal à tenir son objectif d’un maintien de l’inflation à un niveau juste en-deçà de 2%.
Il y a deux semaines, la BCE a annoncé l’arrêt à la fin de l’année de son programme d’achats d’actifs (APP), principal volet de la politique monétaire “non conventionnelle” qu’elle a mise en oeuvre pour sortir la zone euro de la crise.
L’institution a toutefois clairement dit qu’elle n’entendait pas pour autant mettre fin à son soutien à l’économie en annonçant aussi que ses taux directeurs resteraient à leur niveau historiquement bas “au moins jusqu’à l’été 2019 et, en tout cas, aussi longtemps que nécessaire”.
La menace d’une guerre commerciale mondiale et les interrogations sur les intentions budgétaires du nouveau gouvernement italien sont les principaux risques pesant sur l’économie de la zone euro.
La hausse de 2,0% des prix à la consommation en juin est conforme aux attentes des économistes. Hors pétrole et produits alimentaires frais, l’inflation ressort à 1,2% alors que le consensus était de 1,3%, comme en mai.
Si l’on exclut également les prix de l’alcool et du tabac, la hausse des prix revient à 1,0%, évolution en ligne avec les attentes, contre 1,1% en mai.
Les prix de l’énergie ont bondi de 8,0% d’une année sur l’autre en juin et ceux des produits alimentaires frais de 3,0%.
Malgré un taux de croissance au plus haut depuis dix ans dans la zone euro, la BCE a du mal à tenir son objectif d’un maintien de l’inflation à un niveau juste en-deçà de 2%.
Il y a deux semaines, la BCE a annoncé l’arrêt à la fin de l’année de son programme d’achats d’actifs (APP), principal volet de la politique monétaire “non conventionnelle” qu’elle a mise en oeuvre pour sortir la zone euro de la crise.
L’institution a toutefois clairement dit qu’elle n’entendait pas pour autant mettre fin à son soutien à l’économie en annonçant aussi que ses taux directeurs resteraient à leur niveau historiquement bas “au moins jusqu’à l’été 2019 et, en tout cas, aussi longtemps que nécessaire”.
La menace d’une guerre commerciale mondiale et les interrogations sur les intentions budgétaires du nouveau gouvernement italien sont les principaux risques pesant sur l’économie de la zone euro.
