Afrique du Sud : le procès Zuma ajourné au 8 décembre
MAP
Johannesburg - Le procès pour corruption de l'ancien président sud-africain, Jacob Zuma, a été ajourné une nouvelle fois, mardi, au 8 décembre prochain, a annoncé la Haute cour du Kwazulu Natal (Est de l’Afrique du Sud).
Toutes les parties concernées par cette affaire ont convenu de reporter le procès pour des raisons de "préparations préalables", a indiqué l'Autorité nationale sud-africaine des poursuites (NPA).
Les représentants légaux ont également besoin de plus de clarté sur "la reprise des voyages internationaux sous les restrictions actuelles mises en place pour freiner la propagation du coronavirus", a ajouté la NPA.
Le procès de Zuma, qui devait initialement se tenir en mai, avait été repoussé en juin pour cause de pandémie de coronavirus puis en septembre pour des raisons administratives.
A la tête du pays de 2009 à 2018, Zuma (78 ans), est accusé depuis deux décennies de corruption dans le cadre d’un énorme contrat d’armement attribué en 1999. L’ancien chef d’Etat a toujours nié ces accusations.
Depuis sa première mise en cause, Zuma a utilisé toutes les voies de recours juridiques possibles pour tenter d’obtenir l’annulation de ces poursuites.
Zuma a été poussé à la démission de la présidence sud-africaine en février 2018, emporté par les nombreux scandales de corruption qui ont terni son mandat.
Les représentants légaux ont également besoin de plus de clarté sur "la reprise des voyages internationaux sous les restrictions actuelles mises en place pour freiner la propagation du coronavirus", a ajouté la NPA.
Le procès de Zuma, qui devait initialement se tenir en mai, avait été repoussé en juin pour cause de pandémie de coronavirus puis en septembre pour des raisons administratives.
A la tête du pays de 2009 à 2018, Zuma (78 ans), est accusé depuis deux décennies de corruption dans le cadre d’un énorme contrat d’armement attribué en 1999. L’ancien chef d’Etat a toujours nié ces accusations.
Depuis sa première mise en cause, Zuma a utilisé toutes les voies de recours juridiques possibles pour tenter d’obtenir l’annulation de ces poursuites.
Zuma a été poussé à la démission de la présidence sud-africaine en février 2018, emporté par les nombreux scandales de corruption qui ont terni son mandat.