Algérie/Mauritanie: Premier poste-frontière approuvé par Bouteflika
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Le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, a donné son accord officiel pour l'ouverture du premier poste frontalier entre l'Algérie et la Mauritanie après un accord signé par les gouvernements des deux pays fin 2017.
L'agence de presse officielle "APS" a cité une déclaration présidentielle affirmant que le président Bouteflika a signé, lundi, le décret portant ratification de l'accord.
L'accord porte sur la création d'un poste frontalier terrestre au niveau de la bande frontalière commune entre le gouvernement de la République algérienne démocratique et populaire et le gouvernement de la République islamique de Mauritanie, selon l'"APS".
Le 8 novembre dernier, le ministre algérien de l'Intérieur, Noureddine Bedoui, et son homologue mauritanien, Ahmed Ould Abdallah, ont signé cet accord à Nouakchot, pour établir le premier passage frontalier entre les deux pays.
Le passage devrait relier la ville algérienne de Tindouf et la ville mauritanienne de Zouerate pour faciliter la circulation des personnes et des biens, intensifier les échanges commerciaux entre les deux pays et éliminer l'isolement des zones frontalières, ont indiqué des responsables.
Les accords internationaux signés par le gouvernement algérien sont préliminaires, jusqu'à leur ratification par le président, qui leur permet d'entrer en vigueur.
L'accord porte sur la création d'un poste frontalier terrestre au niveau de la bande frontalière commune entre le gouvernement de la République algérienne démocratique et populaire et le gouvernement de la République islamique de Mauritanie, selon l'"APS".
Le 8 novembre dernier, le ministre algérien de l'Intérieur, Noureddine Bedoui, et son homologue mauritanien, Ahmed Ould Abdallah, ont signé cet accord à Nouakchot, pour établir le premier passage frontalier entre les deux pays.
Le passage devrait relier la ville algérienne de Tindouf et la ville mauritanienne de Zouerate pour faciliter la circulation des personnes et des biens, intensifier les échanges commerciaux entre les deux pays et éliminer l'isolement des zones frontalières, ont indiqué des responsables.
Les accords internationaux signés par le gouvernement algérien sont préliminaires, jusqu'à leur ratification par le président, qui leur permet d'entrer en vigueur.