Algérie: incarcération de l’ancien directeur général de la Police, le général Abdelghani Hamel
AA
Le juge d’instruction auprès du Tribunal de Sidi M'Hamed à Alger a émis un mandat de dépôt à l’encontre de l’ancien directeur général de la Police algérienne, le général Abdelghani Hamel, et deux de ses fils, a annoncé, vendredi, la télévision gouvernementale algérienne.
L’épouse d’Abdelghani Hamel a été placée sous contrôle judiciaire, l’instruction se poursuit concernant deux autres fils de l’ancien général de la Police algérienne, a ajouté la même source.
Hamel et les membres de sa famille avaient comparu, jeudi, devant le même tribunal pour détournement de biens et enrichissement illicite avec la complicité de plusieurs maires et responsables au sein du ministère de l’Habitat.
Hamel a occupé le poste de directeur général de la Police algérienne de 2010 à 2018. Il est connu pour être un proche de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika.
Il a été impliqué dans une affaire de saisie, par la Police algérienne en 2018, de 701 kilogrammes de cocaïne, en dépit de l’implication et de l’arrestation de son chauffeur personnel.
Une affaire qui a engendré, depuis le 22 mai 2018, une série de limogeages de hauts cadres sécuritaires algériens, dont celui du général Hamel.
Hamel a, ainsi, déclaré qu’il n’est pas, directement ou indirectement, lié à cette affaire, son "éducation" ne lui permet pas d’être impliqué dans "ce genre d’affaire".
Hamel et les membres de sa famille avaient comparu, jeudi, devant le même tribunal pour détournement de biens et enrichissement illicite avec la complicité de plusieurs maires et responsables au sein du ministère de l’Habitat.
Hamel a occupé le poste de directeur général de la Police algérienne de 2010 à 2018. Il est connu pour être un proche de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika.
Il a été impliqué dans une affaire de saisie, par la Police algérienne en 2018, de 701 kilogrammes de cocaïne, en dépit de l’implication et de l’arrestation de son chauffeur personnel.
Une affaire qui a engendré, depuis le 22 mai 2018, une série de limogeages de hauts cadres sécuritaires algériens, dont celui du général Hamel.
Hamel a, ainsi, déclaré qu’il n’est pas, directement ou indirectement, lié à cette affaire, son "éducation" ne lui permet pas d’être impliqué dans "ce genre d’affaire".