Algérie: près de 40 blessés après un match de football
AA
Trente-neuf personnes, âgées entre 18 et 53 ans, dont des policiers, ont été blessées samedi soir peu après la fin d’un match de football de ligue 2 de football, ont rapporté dimanche plusieurs médias algériens.
Selon ces sources, des incidents ont éclaté après la fin d’un match opposant l’association sportive olympique de Chlef (ASO Chlef) à la jeunesse sportive Madinet Skikda (JSMS) dans le stade de cette dernière (Est) pour le compte de la 24éme de championnat de ligue II de football.
Le match qui s’est soldé par un score vierge (0-0), -synonyme d’espoirs brisés pour une éventuelle accession à l’équipe locale-, a donné lieu à des affrontements qui ont commencé dans les tribunes avant de se propager aux quartiers attenants à l’enceinte sportive, selon ces sources.
Plusieurs voitures et vitrines de magasins ont été saccagées.
Selon le commissaire principal, Mohamed Khazmat, cité par les médias, le déploiement de la police a permis de « maîtriser la situation » alors que les blessés ont été transférés à l'hôpital de la ville.
La télévision privée Dzair-TV, appartenant à l’homme d’affaires, Ali Haddad, président de la plus grande organisation patronale, le forum des chefs d’entreprises (FCE), et détentrice des droits de retransmission du match, a été empêchée de retransmettre le match.
Selon la réglementation en vigueur, le club qui empêche la retransmission d’un match se verra défalquer trois points.
A six journées de la fin du championnat de ligue II, la JSMS pointe à la sixième place à sept points du leader, le Mouloudia Olymique de Bejaia (MOB) qui occupe la première place avec la Jeunesse Sportive Madinet Bejaia (JSMB).
Deux équipes seulement accéderont en ligue I au terme du championnat.
Malgré des campagnes de sensibilisation, des sanctions à l’encontre de clubs dont les supporters sont responsables de dérapages, notamment en les privant de publics durant les matchs, des scènes de violences sont enregistrées à l’occasion de certaines rencontres.
Des spécialistes attribuent ces violences à la mal-vie de la jeunesse, frange écrasante qui se rend aux stades.
Le match qui s’est soldé par un score vierge (0-0), -synonyme d’espoirs brisés pour une éventuelle accession à l’équipe locale-, a donné lieu à des affrontements qui ont commencé dans les tribunes avant de se propager aux quartiers attenants à l’enceinte sportive, selon ces sources.
Plusieurs voitures et vitrines de magasins ont été saccagées.
Selon le commissaire principal, Mohamed Khazmat, cité par les médias, le déploiement de la police a permis de « maîtriser la situation » alors que les blessés ont été transférés à l'hôpital de la ville.
La télévision privée Dzair-TV, appartenant à l’homme d’affaires, Ali Haddad, président de la plus grande organisation patronale, le forum des chefs d’entreprises (FCE), et détentrice des droits de retransmission du match, a été empêchée de retransmettre le match.
Selon la réglementation en vigueur, le club qui empêche la retransmission d’un match se verra défalquer trois points.
A six journées de la fin du championnat de ligue II, la JSMS pointe à la sixième place à sept points du leader, le Mouloudia Olymique de Bejaia (MOB) qui occupe la première place avec la Jeunesse Sportive Madinet Bejaia (JSMB).
Deux équipes seulement accéderont en ligue I au terme du championnat.
Malgré des campagnes de sensibilisation, des sanctions à l’encontre de clubs dont les supporters sont responsables de dérapages, notamment en les privant de publics durant les matchs, des scènes de violences sont enregistrées à l’occasion de certaines rencontres.
Des spécialistes attribuent ces violences à la mal-vie de la jeunesse, frange écrasante qui se rend aux stades.