Attentat de Barcelone: L'Espagne en deuil/ Le bilan s'alourdit
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L'Espagne a commencé vendredi à observer trois jours de deuil national à la mémoire des victimes de l'attentat à la voiture-bélier qui a eu lieu à Barcelone jeudi, tandis que le bilan des attaques s'alourdit portant à 14 le nombre de morts, selon un bilan de la police espagnole.
Tous les drapeaux du pays seront en berne durant le temps de deuil, a annoncé dans la nuit de jeudi à vendredi le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy.
Lors d'une conférence de presse tenue dans la capitale administrative et économique de la Catalogne, Rajoy a déclaré : "Nous savons que les terroristes peuvent être battus".
Le chef du gouvernement espagnol a, par ailleurs, appelé à la solidarité de tout le pays envers la capitale de la Catalogne, communauté autonome, réputée notamment pour ses intentions séparatistes.
"Nous sommes particulièrement unis dans le désir de mettre fin à cette injustice et cette barbarie", à l'égard de ceux qui "veulent nous enlever nos valeurs et notre mode de vie" a-t-il ajouté.
Enfin, Mariano Rajoy a particulièrement évoqué la nécessité d'un pacte anti-terrorisme en faisant référence notamment à l'histoire espagnole marquée par le terrorisme.
En 2004, l'Espagne a connu de très meurtriers attentats simultanés sur le réseau ferroviaire madrilène qui ont fait près de 200 morts et 1900 blessés.
Jeudi, en fin d'après-midi, une fourgonnette a percuté la foule qui flanait sur les célèbres Ramblas en plein coeur de Barcelone. Quelques heures plus tard une voiture a foncé dans la foule dans la ville de Cambrils, station balnéaire située à une centaine de kilomètres au sud de Barcelone.
Les deux attentats ont fait au total 14 morts, et une centaine de blessés dont une quinzaine dans un état grave, selon un nouveau bilan établi vendredi à la mi-journée.
La première attaque a été revendiquée par Daech.
Vingt-six Français figurent parmi les blessés, d'après le ministre de La défense Jean-Yves Le Drian. Les victimes sont d'une trentaine de nationalités.
Lors d'une conférence de presse tenue dans la capitale administrative et économique de la Catalogne, Rajoy a déclaré : "Nous savons que les terroristes peuvent être battus".
Le chef du gouvernement espagnol a, par ailleurs, appelé à la solidarité de tout le pays envers la capitale de la Catalogne, communauté autonome, réputée notamment pour ses intentions séparatistes.
"Nous sommes particulièrement unis dans le désir de mettre fin à cette injustice et cette barbarie", à l'égard de ceux qui "veulent nous enlever nos valeurs et notre mode de vie" a-t-il ajouté.
Enfin, Mariano Rajoy a particulièrement évoqué la nécessité d'un pacte anti-terrorisme en faisant référence notamment à l'histoire espagnole marquée par le terrorisme.
En 2004, l'Espagne a connu de très meurtriers attentats simultanés sur le réseau ferroviaire madrilène qui ont fait près de 200 morts et 1900 blessés.
Jeudi, en fin d'après-midi, une fourgonnette a percuté la foule qui flanait sur les célèbres Ramblas en plein coeur de Barcelone. Quelques heures plus tard une voiture a foncé dans la foule dans la ville de Cambrils, station balnéaire située à une centaine de kilomètres au sud de Barcelone.
Les deux attentats ont fait au total 14 morts, et une centaine de blessés dont une quinzaine dans un état grave, selon un nouveau bilan établi vendredi à la mi-journée.
La première attaque a été revendiquée par Daech.
Vingt-six Français figurent parmi les blessés, d'après le ministre de La défense Jean-Yves Le Drian. Les victimes sont d'une trentaine de nationalités.