"Au nom de l'idéal panafricain"
MAP
L'écrivain et réalisateur camerounais Bassek Ba Kobhio et le réalisateur et comédien béninois Sylvestre Amoussou, deux fervents panafricanistes par leurs oeuvres et leur engagement intellectuel, ont salué la main tendue de SM le Roi Mohammed VI à l'Algérie "au nom de la nécessaire consolidation de l'intégration africaine".
"Il m'étonnerait qu’il y ait un seul Africain pour ne pas se réjouir de cette main tendue du Royaume du Maroc à l’Algérie", a déclaré à la MAP Bassek Ba Kobhio, délégué général du Festival "Écrans noirs", l'un des principaux festivals de cinéma sur le continent.
Pour cet intellectuel camerounais, qui compte à son actif plusieurs films et ouvrages littéraires, "le Maroc aujourd’hui est un grand partenaire économique du reste du continent. Imaginez que ces deux pays (Algérie et Maroc) aplanissent leurs divergences, nous ne pourrions qu’en tirer davantage profit, parce que de traiter avec l’un n’exclurait pas implicitement de le faire avec l’autre".
"Dans le cas du cinéma, nous avons souvent vécu ce dilemme anachronique avec douleur", a regretté cette figure connue du 7ème art au niveau du continent.
Selon lui, le discours de SM le Roi à l’occasion du 43-ème anniversaire de la Marche verte, prônant le développement et l'intégration, "se situe dans la continuité d’une volonté manifeste depuis le retour du Maroc à l’Union Africaine".
Abondant dans le même sens, le cinéaste béninois Sylvestre Amoussou a souligné que l'appel du Souverain au dialogue avec l'Algérie traduit la conviction du "nécessaire rapprochement entre Africains longtemps séparés par des frontières héritées du colonialisme".
"L'Afrique doit être unie et indivisible", a plaidé ce réalisateur engagé qui a, à son actif, entre autres, le film "L'orage africain: un continent sous influence", sorti en 2017, décrit par la critique comme un véritable manifeste contre le néocolonialisme économique sur le continent au 21ème siècle.
"Nous sommes tous Africains. C'est l'union et le partenariat sud-sud prônés par SM Roi Mohammed VI et le Maroc qui vont permettre de mettre le continent sur la voie du développement", a-il dit.
"L'orage africain: un continent sous influence" a été récompensé, l'an dernier, au Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) où il a remporté le prestigieux prix de l’Étalon d’argent de Yennenga.
Ce long métrage vient d'être projeté dans le cadre de l'hommage rendu au Bénin, invité d'honneur de la 15ème édition du Festival international Cinéma et Migrations d'Agadir, dont le jury de la compétition officielle des longs métrages était présidé par le réalisateur camerounais Bassek Ba Kobhio.
"Il m'étonnerait qu’il y ait un seul Africain pour ne pas se réjouir de cette main tendue du Royaume du Maroc à l’Algérie", a déclaré à la MAP Bassek Ba Kobhio, délégué général du Festival "Écrans noirs", l'un des principaux festivals de cinéma sur le continent.
Pour cet intellectuel camerounais, qui compte à son actif plusieurs films et ouvrages littéraires, "le Maroc aujourd’hui est un grand partenaire économique du reste du continent. Imaginez que ces deux pays (Algérie et Maroc) aplanissent leurs divergences, nous ne pourrions qu’en tirer davantage profit, parce que de traiter avec l’un n’exclurait pas implicitement de le faire avec l’autre".
"Dans le cas du cinéma, nous avons souvent vécu ce dilemme anachronique avec douleur", a regretté cette figure connue du 7ème art au niveau du continent.
Selon lui, le discours de SM le Roi à l’occasion du 43-ème anniversaire de la Marche verte, prônant le développement et l'intégration, "se situe dans la continuité d’une volonté manifeste depuis le retour du Maroc à l’Union Africaine".
Abondant dans le même sens, le cinéaste béninois Sylvestre Amoussou a souligné que l'appel du Souverain au dialogue avec l'Algérie traduit la conviction du "nécessaire rapprochement entre Africains longtemps séparés par des frontières héritées du colonialisme".
"L'Afrique doit être unie et indivisible", a plaidé ce réalisateur engagé qui a, à son actif, entre autres, le film "L'orage africain: un continent sous influence", sorti en 2017, décrit par la critique comme un véritable manifeste contre le néocolonialisme économique sur le continent au 21ème siècle.
"Nous sommes tous Africains. C'est l'union et le partenariat sud-sud prônés par SM Roi Mohammed VI et le Maroc qui vont permettre de mettre le continent sur la voie du développement", a-il dit.
"L'orage africain: un continent sous influence" a été récompensé, l'an dernier, au Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) où il a remporté le prestigieux prix de l’Étalon d’argent de Yennenga.
Ce long métrage vient d'être projeté dans le cadre de l'hommage rendu au Bénin, invité d'honneur de la 15ème édition du Festival international Cinéma et Migrations d'Agadir, dont le jury de la compétition officielle des longs métrages était présidé par le réalisateur camerounais Bassek Ba Kobhio.