Chargeur téléphonique unique: La CE donne des signes d'impatience
Reuters
Bruxelles - La Commission européenne compte se pencher sur le dossier du chargeur unique pour téléphones mobiles en de demandant s’il y a lieu d’agir au vu des progrès médiocres accomplis en la matière, a déclaré Margrethe Vestager, la commission européenne à la Concurrence.
L’exécutif européen s’emploie depuis près de 10 ans à persuader les fabricants de smartphones de concevoir un chargeur unique pour tous les modèles, évoquant les 51.000 tonnes de déchets électroniques annuels constitués uniquement de vieux chargeurs, ainsi que l’inconvénient que représente pour le consommateur la multitude de chargeurs différents.
Quatorze fabricants, dont Apple, Samsung, Huawei et Nokia, avaient signé de leur propre chef en 2009 un protocole d’accord en vertu duquel ils acceptaient d’harmoniser les chargeurs des smartphones destinés à être commercialisés deux ans plus tard.
Certains d’entre eux avaient ensuite signé des lettres d’intention en 2013 et en 2014 après l’arrivée à terme du protocole d’accord en 2012.
La Commission européenne ne se satisfait pas du statu quo.
“Au vu des progrès insatisfaisants de cette démarche volontaire, la Commission lancera bientôt une étude d’impact pour évaluer les avantages et les inconvénients des différentes possibilités”, a dit Vestager, en réponse à un parlementaire européen.
Elzbieta Bienkowska, collègue de Vestager au marché intérieur, est chargée du dossier.
Quatorze fabricants, dont Apple, Samsung, Huawei et Nokia, avaient signé de leur propre chef en 2009 un protocole d’accord en vertu duquel ils acceptaient d’harmoniser les chargeurs des smartphones destinés à être commercialisés deux ans plus tard.
Certains d’entre eux avaient ensuite signé des lettres d’intention en 2013 et en 2014 après l’arrivée à terme du protocole d’accord en 2012.
La Commission européenne ne se satisfait pas du statu quo.
“Au vu des progrès insatisfaisants de cette démarche volontaire, la Commission lancera bientôt une étude d’impact pour évaluer les avantages et les inconvénients des différentes possibilités”, a dit Vestager, en réponse à un parlementaire européen.
Elzbieta Bienkowska, collègue de Vestager au marché intérieur, est chargée du dossier.